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Les taux de réussite 2015 sont (enfin!) arrivés

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Ça y est! Après plusieurs mois d’attente et de nombreux rebondissements, les taux de réussite 2015 sont désormais en ligne sur vroomvroom.fr.

Chez VroomVroom, nous envisageons ces taux de réussite comme l’un des nombreux paramètres à prendre en compte lors de l’inscription dans un établissement de conduite. Cet indicateur, s’il peut être utile n’est ni le seul ni le plus intéressant. En effet, avant de s’inscrire, les élèves consultent de plus en plus les avis postés par les élèves inscrits dans l’auto-école. Ces avis renseignent sur la qualité de l’accueil et des formations alors que les taux de réussite sont parfois impactés par des événements externes (conditions météorologiques, grèves des inspecteurs, échanges de places entre établissements, etc…).

Vous pouvez dès aujourd’hui prendre connaissance de ces taux de réussite en vous rendant sur la page de votre établissement.


Des tests salivaires pour lutter contre la drogue au volant

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La Sécurité routière vient de lancer une nouvelle campagne contre la prise de cannabis au volant et la mise en place de tests salivaires. Ces tests de dépistage ont été expérimentés dans 11 départements et seront disponibles d’ici le début de l’année 2017, ce qui représente 52 000 kits salivaires.  Les tests de dépistage permettent de détecter le cannabis mais également la cocaïne, les amphétamines et les opiacés.

  • Mise en place de tests salivaires

Cette mesure a été mise en place à la suite du bilan de la Sécurité routière pour l’année 2015. En effet, 58 247 délits ont été enregistrés pour usage de stupéfiants. De plus, en 2015, 23% des victimes de la route l’ont été à la suite d’accidents engendrés par un conducteur ayant consommé de la drogue. Il faut également noter que la moitié des conducteurs qui sont contrôlés positifs aux stupéfiants dépassent également le taux d’alcoolémie maximal autorisé, ce qui augmente considérablement le risque d’accident. Enfin, 94% des conducteurs contrôlés positifs sont des hommes et 23% sont des jeunes de 18 à 24 ans.

Ainsi, l’objectif est de sensibiliser davantage aux dangers de l’usage des drogues au volant. Ce dispositif permet un contrôle plus accessible et rapide afin de détecter les cas positifs. Le délégué interministériel à la Sécurité Routière, Emmanuel Barbe, pense qu’il risque d’avoir un taux important de délits enregistrés à la suite de la mise en place de ces tests.

Aujourd’hui, lorsqu’un conducteur est contrôlé positif au test de dépistage des stupéfiants (test urinaire), il doit être emmené afin d’effectuer une prise de sang de confirmation. Il s’agit d’une procédure longue et difficile à mettre en place. À la suite de la mise en place de ces tests, les forces de l’ordre pourront directement prendre les sanctions adéquates en cas de contrôle positif. En revanche, un second test sera tout de même envoyé au laboratoire, même si dans 99% des cas le premier test est confirmé. Le kit salivaire se présente sous la forme d’un bâtonnet à placer dans la bouche du conducteur, il suffit de 10 minutes afin de déterminer s’il est positif ou non.

tests salivaires

  • Le lancement de la campagne

Le slogan de la campagne est clair « Fumer du cannabis c’est illégal. Sur la routes ça peut être fatal. » Ainsi, la campagne est déclinée sur plusieurs outils de communication afin de toucher une plus large partie de la population (spots radio, film d’animation et dépliants).

En plus de sensibiliser, cette campagne informe également sur les conséquences d’une conduite sous l’emprise de stupéfiants. Elle met en scène Julien, un jeune de 24 ans, qui à la suite d’un contrôle positif aux stupéfiants perd son permis et doit payer une amende de 400€.

  • Quels sont les risques d’une conduite sous l’emprise de stupéfiants?

Lorsqu’un conducteur est sous l’emprise de drogue, il perd ses réflexes c’est-à-dire que sa vigilance et son temps de réaction diminuent. D’autre part, en cas de contrôle positif le conducteur se voit retirer 6 points sur son permis de conduire et doit payer une amende allant jusqu’à 4 500€. De plus, il peut risquer jusqu’à 3 ans de suspension du permis et 2 ans d’emprisonnement. Enfin, le conducteur peut mettre sa vie en danger mais également celle d’autrui.

risques-drogueEt vous que pensez-vous faire afin de sensibiliser vos élèves sur ce fléau ? Quelles mesures allez-vous mettre en place ?

Pour plus de renseignements vous pouvez vous rendre sur le site de la Sécurité routière.


Comment passer son permis de conduire en 13 heures ?

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Une nouvelle réforme vient d’être annoncée pour rendre le permis de conduire en boîte automatique plus accessible, sous certaines conditions. Jusqu’à présent les élèves souhaitant passer le BEA devaient effectuer un minimum de 20h de conduite en auto-école avant d’être présentés à l’examen pratique.

Cette réforme, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2017, prévoit que les 20 heures de conduite ne seront plus obligatoires pour les élèves déjà titulaires d’un permis de conduire (hors AM et B1). Cette nouvelle formation, moins longue, sera donc moins coûteuse pour les élèves mais elle risque d’avoir un impact sur les professionnels de l’auto-école.

  • Le volume d’heures minimal est ramené à 13 heures

Le texte de l’arrêté du 14 octobre, paru le 29 octobre au Journal officiel, précise que le minimum de 20h « ne s’applique pas aux élèves déjà titulaires d’une autre catégorie du permis de conduire, à l’exception des catégories AM et B1 du permis de conduire, et aux élèves suivant une formation limitée à la conduite des véhicules équipés d’une boîte automatique pour laquelle un volume minimum de treize heures est requis » (Article 2). Cet arrêté – pris par le gouvernement – a pour objectif de faire diminuer le coût de l’examen de 25%.

  • Le bilan de compétences pourra être effectué à tout moment lors de la formation

Au changement prévu par l’arrêté du 14 octobre (Article 6): l’école de conduite devra effectuer un bilan des compétences acquises par l’élève à l’issue de la formation pratique (ou à tout moment à la demande de l’élève) et délivrer une attestation de fin de formation initiale si l’élève a satisfait à ce bilan. Dans le cas contraire, un autre bilan de compétences sera réalisé ultérieurement. Le fait de ne pas obtenir cette attestation n’empêchera pas l’élève d’être présenté l’épreuve pratique du permis de conduire.

  • Les régularisations des permis BEA en B sont remplacées par des formations délivrées par les auto-écoles

Selon un autre arrêté, également daté du 14 octobre, les titulaires du permis de conduire en boîte automatique pourront conduire des véhicules équipés d’une boîte manuelle après avoir effectué une formation en auto-école (Article 1). Ces derniers n’auront plus besoin de repasser un examen de « régularisation » auprès d’un Inspecteur du permis de conduire et de la Sécurité routière (IPCSR).

Le contenu de cette formation pratique et individuelle est également précisé par l’arrêté (Annexe 1). D’une durée de sept heures, dont 1 heure maximum sur simulateur (Article 3), elle devra être dispensée par un enseignant titulaire d’une autorisation d’enseigner pour la catégorie B (Article 4) et devra être dispensée sur un véhicule équipé d’une boîte manuelle (Article 5).

Attention, pour effectuer cette formation, les élèves devront patienter 6 mois après l’obtention de leur permis de conduire en boîte automatique (Article 2). Enfin, à l’issue de la formation, l’école de conduite délivre au conducteur une attestation de formation (Article 6), dont il transmet un exemplaire à la préfecture. L’école de conduite devra en outre conserver un exemplaire de cette attestation dans ses archives pendant une durée de cinq ans (Article 6).

  • Quelles conséquences pour les élèves et pour les gérants ?

Si cette réforme apporte de nombreuses modifications au déroulement des formations au permis en boîte automatique, sa portée semble néanmoins assez limitée étant donné le public restreint qu’elle concerne.

Cette réforme soulève également quelques questions. Du point de vue de l’apprentissage, tout d’abord, la grande majorité des élèves ont (et auront toujours) besoin de davantage que 13 heures de conduite pour assimiler les notions indispensables pour réussir l’examen pratique, que la formation soit effectuée en boîte automatique ou non. Il est donc peu probable que le volume global des formations en boîte automatique chute drastiquement.

Du point de vue de la sécurité routière ensuite, une telle réforme qui permettrait de raccourcir la durée des formations semble être en contradiction avec la volonté − affichée par le gouvernement −  de réduire le nombre d’accidents sur les routes et de lutter contre la mortalité.

Et vous, que pensez-vous de cette réforme et du développement du permis de conduire sur boîte automatique en général?


9ème journée nationale de sécurité routière aux passages à niveau

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SNCF Réseau a organisé la 9ème Journée nationale de sécurité routière aux passages à niveau le 13 octobre 2016. Une journée nationale qui existe depuis 2008 et qui est parrainée par le ministère des Transports. Tous les acteurs de la sécurité routière et ferroviaire ainsi que des associations sont mobilisés afin de sensibiliser un maximum contre le risque de collision aux passages à niveau.

  • Des actions dans toute la France

Parmi les actions réalisées, la Bretagne a effectué son action sur le passage à niveau situé sur la ligne Rennes-Saint-Malo.

saint-maloL’objectif de la journée est de multiplier les opérations de sensibilisation partout en France à proximité des passages à niveau. Pour cela, des volontaires sont chargés de distribuer une documentation afin de délivrer des messages de prévention. Ils rappellent également les règles de sécurité pour permettre de diminuer les accidents.
journee Depuis la création de cette journée nationale, il y a bientôt 10 ans, le nombre de morts aux passages à niveau a diminué de moitié.

D’autre part, 99% des accidents à proximité d’un passage à niveau sont dus au non respect du code de la route :

  • impatience (temps d’attente au passage à niveau jugé trop long) ;
  • baisse de vigilance due à un passage à niveau situé sur un trajet habituel ;
  • non-respect du code de la route :
    • vitesse excessive (plus de la moitié des accidents) ;
    • passages en chicane entre les barrières fermées (voitures, piétons ou cyclistes) ;
    • non-respect du panneau STOP.
  • Une campagne choc


L’objectif de la campagne est de sensibiliser la plus grande partie de la population au respect des règles de sécurité à proximité d’un passage à niveau. En effet, automobilistes, 2 roues ou piétons manquent souvent de prudence à l’approche d’un passage à niveau.

Le message de cette campagne est simple:                                                                         « Ne risquez pas votre vie aux passages à niveau, respectez le code de la route ! »

Ce film de 30 secondes met en scène un cascadeur qui durant toute sa vie prend des risques inconsidérés mais qui ne prendra aucun risque à l’approche du passage à niveau.

Gérants d’auto-école votre devoir est de sensibiliser vos élèves à ce sujet afin qu’ils ne reproduisent pas ces erreurs !

Faites le test !

 


Des contrôles routiers inédits pour les élèves d’auto-écoles

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Les élèves des auto-écoles de Saintes-Marie-des-Champs en Seine-Maritime ont été surpris par des contrôles routiers pour le moins inattendus. En effet, habituellement les élèves d’auto-écoles ne sont pas les cibles privilégiées lors d’un contrôle routier. Or, ce contrôle routier s’intéressait uniquement aux voitures d’auto-écoles.

Cette décision d’organiser des contrôles routiers destinés aux élèves d’auto-écoles a été prise par la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) dans le cadre du plan départemental d’actions de sécurité routière. L’objectif principal de ce contrôle routier est de sensibiliser et prévenir sur les risques pour les jeunes conducteurs. En effet, entre janvier et octobre 2016, 13 jeunes de 14 à 24 ans sont morts sur les routes de Seine-Maritime. Les accidents causés par les jeunes conducteurs sont généralement dus à l’utilisation du téléphone au volant – SMS et appels – et à la consommation d’alcool et de cannabis.

Si les élèves ont été totalement surpris par ce contrôle, les moniteurs, eux, avaient été prévenus par les forces de l’ordre afin qu’ils effectuent un trajet sur la route contrôlée. Cette opération a permis d’effectuer près de 90 contrôles routiers et de sensibiliser les élèves de 8 auto-écoles.controle-candidats

Ainsi, les élèves ont pu voir les conditions réelles d’un contrôle routier et ont bénéficié d’un message de prévention concernant leur conduite future. Lorsqu’il a fallu se garer, certains n’étaient pas très rassurés et on été contraints de faire la manœuvre sous le regard amusé des moniteurs. Cependant, les élèves ont joué le jeu du contrôle routier en donnant leurs papiers et en soufflant dans l’éthylotest. Ce fut une expérience enrichissante pour l’ensemble des élèves qui ont été contrôlés.

Enfin, il est important et nécessaire d’effectuer des contrôles de ce type régulièrement partout en France afin de sensibiliser davantage les jeunes conducteurs. En effet, les jeunes âgés de 18 à 24 ans représentent seulement 9 % de la population mais plus de 20 % des morts sur la route.

  • les candidats au permis font l’expérience d’un contrôle routier

Et vous, êtes vous pour ou contre ces contrôles routiers destinés à la prévention et à la  sensibilisation des jeunes conducteurs ?


Comment gérer le stress de vos élèves?

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Le permis de conduire est une étape importante dans la vie mais il peut se transformer en véritable cauchemar pour l’élève. Vous avez sans doute été confronté(e) à ce type de situation où il est difficile d’aider l’élève. Permismag vous propose des solutions pour gérer le stress de vos élèves.

  • Le rôle de l’auto-école

L’auto-école a pour objectif d’accompagner l’élève tout au long de sa formation. Nous avons donc demandé à quelques auto-écoles leurs « remèdes » pour aider leurs élèves à se libérer de leur stress.

Nous avons rencontré Stéphanie, gérante de l’auto-école Family Avon dans le 14e arrondissement de Paris, qui nous a donné quelques solutions simples. Lorsqu’on lui demande si elle a connu des élèves stressés par le permis de conduire elle répond sans hésiter qu’elle en voit tous les jours. En effet, personne n’est serein face à la conduite et l’examen du  permis B car il s’agit de quelque chose de nouveau..                                                          Afin d’envisager l’examen ,mieux vaut être informé sur certains détails : attitude à adopter dans certaines circonstances, déroulement de l’apprentissage, centre d’examen. Avant tout expliquer à l’élève que conduire est un plaisir et un moyen de liberté. Comme tous les examens il faut s’y préparer avec sérénité et méthodologie. C’est le rôle des moniteurs d’apporter ce climat fluide et limpide. De manière générale, veillez à ce que l’élève soit  dynamique au volant – sans trop d’excès bien entendu –et qu’il se sente en toute sécurité ainsi que ses passagers. Tel est le secret d’un bon apprentissage en conduite. Rendre l’élève concentré, calme et l’aider à acquérir des automatismes nécessaires à une bonne conduite sans stress. Le rôle d’accompagnateurs est essentiel, ils seront donc à l’écoute et ils vont expliquer les erreurs du candidat mais aussi ses progrès dans une ambiance positive.            Ce qui donnera un élève heureux, confiant et déstressé

  • L’hypnothérapie

Nous avons été à la rencontre de Séverine Deleas, une hypnothérapeute de Lyon. Cette pratique se développe en France depuis quelques années. Il s’agit d’une hypnose humaniste c’est-à-dire que l’élève reste conscient durant toute la séance. L’hypnothérapeute a un rôle de guide permettant d’accompagner l’élève dans sa démarche. Cependant, l’élève reste maître de ses moyens et peut choisir le rythme auquel il souhaite avancer. La première séance dure 1h30 et a pour but de définir l’objectif de travail de l’élève. Durant cette séance, 45 minutes sont consacrées à un échange anamnèse, basé sur la parole, pour apprendre à se connaître.

Les personnes qui souhaitent effectuer cette pratique ont des problématiques différentes de la peur. Certains ont vécu un traumatisme suite à un accident vécu ou vu, d’autres paniquent au volant. Il peut également s’agir d’un titulaire du permis de conduire qui manque d’expérience.

Les objectifs de la thérapie sont de redonner confiance à l’élève et de transformer une peur en une véritable opportunité de dépassement de soi. Des élèves utilisent également cette pratique quelques jours avant leur examen pour pouvoir se préparer, apprendre à gérer le stress et la concentration et appréhender un échec.

En moyenne, la thérapie dure 4 à 5 séances même si parfois une seule séance suffit selon la capacité et l’importance du traumatisme de l’élève. Vous pouvez trouver plus d’informations sur son site internet.

N’hésitez pas à conseiller vos élèves et à mettre en place ces solutions pour les aider au mieux dans l’appréhension du permis de conduire.


Tesla : la voiture du futur ?

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Si vous étiez fan (ou que vous l’êtes toujours) de la série télévisée K2000, vous vous souviendrez que l’on avait déjà, en 1982, une idée bien précise de l’évolution de l’automobile. Cette semaine Elon Musk, président du constructeur automobile de voitures électriques Tesla présentait des mises à jour majeures. Des voitures autonomes qui conduisent toutes seules, se garent et détectent les obstacles sans intervention humaine, c’est le futur qui nous est destiné.

  • L’objectif de Tesla

L’objectif principal est simple: faire une mise à jour sur les voitures Tesla afin qu’elles soient entièrement autonomes. Pour se faire, la voiture possédera 8 caméras ce qui permettra une vision complète autour de la voiture. Pour compléter le dispositif, la voiture sera équipée de 12 capteurs à ultrasons. Enfin, un radar longue portée permettra de voir les obstacles quelque soient les conditions météorologiques (y compris en cas de brouillard ou de fortes pluies). La puissance informatique dans les voitures a été multipliée par 40 si l’on prend comme référence les premiers modèles de la marque.

Ainsi, cette voiture peut faire des aller-retours, prendre des voies rapides, se garer, détecter les humains et les autres automobiles de façon autonome sans aucune participation humaine. Imaginez-vous à bord de votre voiture pour aller au travail, idéalement installé afin de relire vos derniers dossiers de travail ou regardant un film. Voici la vision de l’automobile dans 10 ans pour Elon Musk.

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Cependant, la validation complète du logiciel d’autonomie ainsi que l’autorisation des régulateurs sera assez longue à mettre en place.

  • Les conditions et prix de Tesla

De plus, Tesla a déjà interdit la sous-location de la voiture avec un service comme Uber ou BlaBlaCar, que certains propriétaires pouvaient être tentés d’utiliser pour rentabiliser l’achat. Néanmoins, il vous sera possible d’inscrire votre voiture sur Tesla Network où vous pourrez la louer. Ainsi, lorsque vous n’utiliserez pas votre voiture celle-ci générera tout de même un revenu. Un avantage lorsqu’on sait qu’il faut compter 35 000 USD pour le Model 3 (entrée en gamme). Cependant, les prix en euros seront annoncés dans l’année 2017 et la production est prévue pour mi-2017. Pour les modèles haut-de-gamme équipés d’options plus développées, il faut débourser un minimum de 145 500€ avec la Model S P100D.

D’autre part, le régulateur des transports allemand s’est opposé au terme « pilotage automatique » employé par Tesla. En effet, ce terme suggère que les voitures peuvent évoluer en « autonomie totale » et ne nécessitent aucune vigilance de la part du conducteur. Or, deux accidents ont d’ores et déjà été recensés en Chine et aux États-Unis et sont directement dû à un manque de vigilance.

teslaPour mieux comprendre l’autonomie des voitures Tesla :

Et vous qu’en pensez-vous ? Pour ou contre cette autonomie intégrale de la voiture ?


Le code de la route pour tous les âges !

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L’apprentissage du code de la route s’adresse initialement aux jeunes à partir de 15 ans mais, aujourd’hui, des initiatives sont mises en place pour sensibiliser les enfants dès la maternelle, ainsi que pour faire un rappel aux seniors.

  • Les enfants

En effet, à l’initiative de la MAIF, la mutuelle des enseignants, le personnel de certaines écoles décide de réaliser des initiations au code de la route. Ce concept a pour objectif de familiariser les enfants – dès leur plus jeune âge – avec les règles de conduite. Sur leur vélo, ils ont pu apprendre à lire et comprendre les différents panneaux de signalisation. Les enfants apprennent ainsi à adopter les bonnes conduites face à un feu rouge, à un panneau STOP ou même à un rond-point. Cette expérience est nécessaire aux enfants car, avant d’expérimenter leurs connaissances à bord d’une voiture, ils devront le faire en tant que piétons ou cyclistes.

D’autre part, la Sécurité Routière a lancé en juin 2016, des jeux pédagogiques permettant de sensibiliser les enfants face aux dangers de la route. Elle propose l’application « Sécurité Routière Junior »permettant de savoir quel comportement adopter dans une situation donnée. De plus, elle lance une édition spéciale des Incollables « Ensemble sur les routes » pour permettre aux familles de comprendre, ensemble, les dangers de la route. Vous pouvez découvrir tous les autres conseils et jeux pédagogiques pour une route plus sûre.

le code de la route

  • Les seniors

Le Code de la route évolue et connaît depuis quelques années des évolutions notables. Apparu au début du XIXème siècle, avant même l’apparition des automobiles, il ne comportait alors que quelques pages. Aujourd’hui, le Code de la route en contient plus de 1000. Pour les plus de 65 ans, qui représentent 18,8% de la population française, l’apprentissage du code de la route est souvent un lointain souvenir et certaines de ses évolutions leurs sont inconnues (ou mal maîtrisées). Ainsi, des auto-écoles ont mis en place un service destiné aux seniors pour que ceux-ci puissent actualiser leurs connaissances. Il s’agit pour les seniors de tester leurs connaissances face aux modifications récentes du code de la route. Ils ont l’opportunité de repasser le code de la route, de façon fictive, afin de s’évaluer.

D’autre part, certaines auto-écoles préconisent une visite médicale pour les plus de 65 ans. En effet, de nombreux facteurs influent sur la façon de conduire à partir de cet âge. La vue et l’ouïe qui baissent, le temps de réactivité qui augmente constituent les facteurs principaux dans les accidents causés par les seniors.

Sécurité des séniors

Et vous, pensez-vous qu’il est nécessaire de sensibiliser les enfants pour rendre les routes plus sures demain ? Et faut-il prévoir des solutions pour les seniors afin qu’ils restent connectés à l’actualité ?


Permis de conduire, les chiffres clés de l’année 2015

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La Délégation à la Sécurité et à la Circulation Routière (DSCR) vient de publier son bilan pour le permis de conduire en 2015. C’est une année satisfaisante pour les auto-écoles malgré les nombreuses réformes qui ont rythmé l’année.

  • Les candidats

Cette année encore, les chiffres montrent une véritable hausse du nombre d’inscrits dans toutes les catégories de permis confondues. En effet, on a recensé 1 245 017 nouveaux candidats en 2015 contre 1 181 647 en 2014 soit une hausse de 5,4%.

D’autre part, les mois de mars, juillet et octobre ont été les plus fructueux avec plus de 95 000 inscrits sur le groupe léger. Permis de conduire

On remarque une nette évolution sur le groupe léger depuis 2013 puisque le nombre d’inscrits est passé de 865 444 à 1 026 414.Permis de conduire

  • Les épreuves théoriques

Les épreuves théoriques ont également connu une hausse du nombre de candidats de 3,62% passant de 1 423 333 en 2014 à 1 474 827 en 2015. Cette augmentation s’explique par les mesures mises en place depuis juillet 2014. En effet, il est maintenant possible de passer les épreuves théoriques avec des retraités de la fonction publique pour augmenter le nombre d’examens durant l’année.

D’autre part, le taux de réussite poursuit sa progression avec +1 point par rapport à 2014 et +5 points avec 2011. La taux de réussite au code de la route atteint 71,48% pour l’année 2015.

Cette augmentation est généralisée, ainsi les taux de réussite ont augmenté dans 80% des départements français. Les départements ayant connu la plus forte hausse de taux de réussite (hausse suppérieure à 3%) sont l’Aveyron, la Corse-du-Sud, l’Essonne,  le Finistère, le Lot-et-Garonne, les Alpes-Haute-Provence, Saint-Pierre-et-Miquelon, le Territoire-de-Belfort, le Loiret et Mayotte.

  • Les épreuves pratiques

En 2015, on a dénombré 1 875 160 examens pratiques, soit une hausse de 5,6 % comparée à 2014.

  1. Les permis B et B1 ont été les plus passés en 2015 et représentent 83,13% des permis délivrés en France. De plus, le taux de réussite s’est élevé l’an passé à 59,37% soit 847 123 résultats favorables sur 1 427 025 examens .
  2. En revanche les catégories A, A1 et A2 qui connaissaient – depuis quelques années – une stabilité ont baissé de 1,4 points par rapport à 2014. On a dénombré 172 637 examens  hors circulation et 122 220 examens en circulation avec un taux de réussite de 90,76%.
  3. Concernant le groupe lourd, 153 278 examens ont eu lieu avec un taux de réussite de 79,21%, contre 77,66% en 2014, soit une hausse de 1,8 points.

Vous pouvez retrouver l’étude et les chiffres du permis de conduire pour l’année 2015 sur le bilan 2015 de la Sécurité Routière.

Et vous que pensez-vous de ces chiffres et de la croissance du nombre d’examens?


Comment devenir inspecteur du permis de conduire ?

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Vous souhaitez découvrir de nouvelles aventures dans le monde de l’auto-école ? Pourquoi ne pas devenir inspecteur du permis de conduire et de la Sécurité Routière. Permismag vous explique toutes les procédures.

  • Zoom sur le métier d’inspecteur du permis de conduire

Le rôle principal de l’inspecteur du permis de conduire est d’évaluer les compétences d’un candidat, sa façon de conduire et sa réactivité. Cependant, il est considéré comme un agent de la Fonction publique et à ce titre il doit effectuer des actions de la Sécurité Routière et sensibiliser à ce sujet.

  • Quelles conditions doit-on remplir ?

Pour devenir inspecteur du permis de conduire il faut être titulaire du permis B depuis au moins 3 ans et ne pas être inscrit sur le fichier national de restriction, de suspension d’annulation ou d’interdiction de délivrance du permis de conduire. D’autre part, pour prétendre au concours de l’IPCSR il faut être titulaire d’un baccalauréat ou diplôme équivalent. Le concours est aussi accessible aux personnes ayant une expérience professionnelle de minimum 3 ans semblable à celle d’IPCSR et aux agents de la fonction publique qui exercent depuis au moins 4 ans.

Ainsi, le concours s’effectue en 2 phases : dans un premier temps la phase d’admissibilité qui comprend la partie écrite portant sur le code de la route. Dans un second temps, la phase d’admission qui comprend un exercice de conduite.

Après l’obtention de ce concours, le candidat est considéré comme IPCSR stagiaire et n’est titularisé qu’après 1 an de stage et une formation initiale obligatoire d’au moins 6 mois.

  • Où passer la formation initiale ?

Enfin, après le concours, le candidat doit effectuer une formation initiale située à l’Institut national de la sécurité routière et de recherches (INSERR) à Nevers. Cette formation a pour objectif de consolider les connaissances théoriques et pratiques du permis de conduire. Elle permet également le passage du permis A, dans le cas où le candidat ne l’a pas.

Et vous, souhaitez-vous devenir inspecteur du permis de conduire et de la Sécurité Routière ?