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Qu’en est-il du projet Faeton ?

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faeton

Depuis maintenant 10 ans, une directive européenne impose de changer le format des permis de conduire et donc de remplacer le mythique papier rose par un permis au format d’une carte d’identité. En 2006, l’État français en profite pour lancer une grande réforme baptisée Faeton.

Faeton, c’est quoi ?

Suite à la directive européenne du 20 décembre 2006l’État français prend conscience de l’obsolescence du Système national des permis de conduire (SNPC), mise en place en 1992, qui ne permettra pas de prendre en compte les évolutions impliquées par la mise en œuvre de la troisième directive européenne sur le permis de conduire. Le nouveau projet intitulé Faeton consiste à bâtir un nouveau système d’information et de gestion qui s’appuiera sur une plateforme plus fonctionnelle et plus moderne et permettant une liaison entre les différents pays de l’Union Européenne.

Le principal point mis en avant pour les écoles de conduites était la dématérialisation des demandes évitant ainsi les doubles saisies actuellement réalisées à la fois par les partenaires privés et les agents de l’État. La communication entre acteurs privés et l’administration sera ainsi plus rapide, et plus sécurisée.
Par exemple l’enregistrement des demandes d’inscription sera dématérialisé en amont par les écoles de conduite, ou par les préfectures pour les candidats libres.

Faeton, qu’en est-il ?

Dix ans après l’annonce du projet, Faeton en est toujours (ou presque) à la case départ. C’est lors de l’audience du 25 mars de la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF) à la Cour des Comptes, chargée de réprimer les infractions en matière de finances publiques, que l’affaire a éclaté !

  • 2010 : le projet Faeton est confié à l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), établissement public sous tutelle du ministère de l’Intérieur
  • 2011 : l’ANTS signe un contrat estimé à 32,7 millions d’euros avec l’entreprise Capgemini, chargée de développer Faeton
  • 2013 : les permis de conduire au format carte apparaissent, sans que Faeton ne soit opérationnel
  • La facture de Capgemini évolue à 53,8 millions d’euros (+64,5 %). Faeton ne fonctionne toujours pas
  • 25 avril 2014 : le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, signale au Procureur général près la Cour des Comptes que des investigations « ont permis de mettre au jour des dysfonctionnements importants dans la gestion » à l’ANTS, en particulier sur le projet Faeton
  • 25 mars 2016 : trois anciens responsables de l’ANTS comparaissent devant la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF), à la Cour des Comptes. La décision est en délibéré

Concrètement, aujourd’hui, après avoir coûté 53,8 millions à l’État français, le projet Faeton n’est toujours pas opérationnel, les démarches ne sont toujours pas dématérialisées et le projet n’est pas encore prêt d’aboutir puisque trois anciens responsables de l’ANTS – entité en charge du projet – sont actuellement en jugement pour mauvaise gestion du projet Faeton. Parallèlement, lors de l’audience, des soupçons de malversations à propos du marché public de « TES » pour « Titres électroniques sécurisés », lié à l’ANTS ont fait apparition. De quoi ralentir encore plus l’avancée du projet qui aurait pu être une révolution pour les auto-écoles en favorisant la communication avec le Ministère de l’Intérieur.

Nous vous tiendrons informés de l’avancée du projet Faeton. Qu’en pensez-vous ? Le projet Faeton sera-t-il selon vous appliqué prochainement ? Ou devons-nous totalement oublier ce projet ?


Airbag pour moto, une nouvelle initiative !

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Les motos semblent vraiment être dans le viseur de la Sécurité Routière en ce début d’année 2016 et surtout juste avant l’arrivée des beaux jours comme nous avons pu le voir précédemment avec la campagne de la Sécurité Routière.

Mardi 22 mars dernier, les chargés de mission deux-roues motorisés départementaux se sont réunis au sein des locaux de la DSCR pour leur première journée de formation annuelle. La formation a été l’occasion pour les chargés de mission deux-roues de lire l’étude que la Sécurité routière confiée au Cérema (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) et à l’Utac-Ceram qui met en évidence les chiffres inquiétants liés au motos.

Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière, a exposé lors de cette formation l’éventuelle utilisation de vestes airbag pour les motards. « Cet équipement, qui assure le même niveau de protection qu’un casque, mais sur l’ensemble thorax/abdomen, partie du corps très exposée lors des accidents ».

Désormais confiées aux chargés de mission, la veste airbag va permettre d’accompagner les démonstrations de Sécurité Routière et donc de sensibiliser encore davantage les motards sur les accidents de la route.

Un tel équipement pourrait très largement renforcer la sécurité sur nos routes. Qu’en pensez-vous ? 


Le premier test du radar stop dans l’Essonne

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Depuis le 27 octobre 2003, date de l’installation du premier radar « vitesse fixe » sur la RN 20 dans l’Essonne, c’est au quotidien que les automobilistes Français sont confrontés à ces outils de contrôle routier !

Le nombre et la diversité des radars est en constante évolution depuis sa première installation en 2003. Aujourd’hui, la liste est déjà assez importante : vitesse fixe (2181 radars déployés au 1er août 2015), vitesse embarqué (569 radars), discriminant (237 radars), vitesse moyenne (100 radars), feu rouge (712 radars), passage à niveau (72 radars), chantier (4 radars), pédagogique (882 radars), mobile nouvelle génération (260 véhicules).

Aujourd’hui un petit nouveau fait son apparition sur les routes Françaises, le radar stop. Tout comme le premier radar mis en service en 2003, le radar stop est actuellement en cours de test depuis le 15 février à Yerres (rue Marc-Sangnier), dans l’Essonne.

Conçu par la société AFS2R, l’appareil est composé d’une caméra vidéo et d’un système de lecture automatique des plaques d’immatriculation. Si l’arrêt n’est pas marqué au stop, la séquence vidéo est enregistrée grâce à des algorithmes de reconnaissance de mouvement. Les policiers installés dans une salle de contrôle des caméras de la ville n’ont plus qu’à vérifier la vidéo et rédiger le PV électronique. Nous le rappelons, un arrêt non marqué à un stop équivaut à 135 euros d’amende et un retrait de quatre points sur le permis.

Lors des tests, ce radar de stop avait fait très fort : 500 infractions constatées en une demi-journée ! Il est même capable de repérer un refus de priorité sur un passage piéton ! De quoi inquiéter plus d’un automobiliste en France.

Vous pouvez retrouver la vidéo réalisée par BFMTV à propos de ce nouveau radar ! Qu’en pensez-vous ? La multiplication des radars est-elle une mesure efficace pour lutter contre les infractions sur nos routes ? 


En voiture, passez en « mode conduite »

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Le téléphone, cet outil qui est la cause d’un accident sur 10, est devenu indispensable à notre quotidien. Les Français sont aujourd’hui 34 % à avouer se servir de leur smartphone en conduisant même s’ils reconnaissent pour la plupart que cette pratique est dangereuse.

Répondre au téléphone n’est pas la seule chose à ne pas faire au volant. Envoyer ou lire un texto en conduisant est tout aussi dangereux : le danger provient du fait que le conducteur est obligé de quitter la route des yeux pendant environ 5 secondes, le temps de parcourir plus de 100 mètres, l’équivalent de la longueur d’un terrain de football !

Pour tenter de mettre fin à ces mauvaises pratiques, la Sécurité Routière mise sur des campagnes choc et des idées créatives. C’est pourquoi la Sécurité Routière a décidé de lancer une application « Mode Conduite » afin d’empêcher les « smartphones addicts » de consulter leur téléphone au volant !

Sur le même principe que le mode Avion, le mode conduite permet de :

  • Désactiver les fonctionnalités appels et SMS
  • D’envoyer automatiquement un message personnalisable pour signifier que la personne est en voiture et ne peut pas répondre.
  • A la fin de chaque trajet, un récapitulatif est présenté à l’utilisateur avec la liste des appels, sms reçus et du nombre de km parcourus pendant l’activation du Mode Conduite.

Les avis des internautes encouragent et félicitent l’initiative même s’ils reconnaissent que pour l’instant l’application est assez précaire et mériterait une mise à jour. Avis aux Apple addict, pour l’instant l’application est disponible uniquement sur Androïd.

Que pensez-vous d’un tel dispositif ? Croyez-vous en son utilité ? 


Perte de contrôle, la nouvelle campagne choc !

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Perte_de_controle_campagne

La Sécurité Routière fait toujours fort quand il s’agit de réaliser des campagnes choc sur la sécurité. Cette nouvelle campagne vise en particulier les deux-roues.

La sécurité routière a voulu réagir face aux chiffres alarmants de 2015 : 768 personnes ont été tuées et 11.000 blessées gravement à deux-roues motorisés. La majorité des accidents ont eu lieu « lorsque le motard se sent en confiance, de jour, par beau temps et en rase campagne », précise la Sécurité routière.

La campagne est diffusée depuis samedi à la télévision et sur les réseaux sociaux, elle a aussi été déclinée en deux spots radio. Le principe est de briser l’idée reçue :  » selon laquelle une moto freine sur une distance plus courte qu’une voiture à la même vitesse ». Une étude menée par la sécurité routière montre que le « temps de perception-réaction est identique entre le motard et le conducteur de la voiture pour le freinage d’urgence ». Les données sont étonnantes : « une distance de freinage plus longue pour la moto: 3 mètres à 50 km/h et 7,5 m à 90 km/h ».

Cette campagne intitulée : « Perte de contrôle » met en avant le fait que les motards sont eux aussi impliqués dans la sécurité routière, qu’ils ne sont pas plus à l’abris que les automobilistes. Ils représentent en effet près de la moitié des blessés graves et un quart des décès sur les routes.

Le clip vidéo s’attache à prouver l’impact ravageur de l’accident, qui va toucher le conducteur mais frapper aussi tous ses proches, en une violente « onde de choc ». La narration du clip est aussi violente que les images qui s’enchainent dans un mouvement dramatique.

« Sur cette route qu’il connaît, Maxime se sent en sécurité. Mais cette fois, un animal va surgir. C’est sans douleur qu’il se réveillera à l’hôpital, jusqu’à ce que sa mère lui annonce sa tétraplégie ».

C’est à la suite de l’autorisation de la circulation inter-files et à la veille des beaux jours que la sécurité routière a choisi de dévoiler cette nouvelle campagne, la coïncidence n’est donc pas de la partie. Vous pouvez retrouver l’infographie consacrée à cette nouvelle campagne sur le communiqué officiel de la Sécurité Routière.

Vous êtes les prescripteurs de la sécurité sur nos routes, n’hésitez surtout pas à partager la bonne attitude et à sensibiliser vos élèves. Le résultat ne pourra être que positif ! 

Que pensez-vous de cette nouvelle campagne ? 


Quand les moniteurs racontent leurs anecdotes insolites

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Moniteurs-anecdotes-insolites

Le métier d’enseignant de la conduite peut parfois vous mener à des situations des plus cocasses, vous le savez mieux que personne ! L’idée insolite de ce début 2016 vient de plusieurs moniteurs d’auto-écoleKarine Vidonne, Franck Perriard, Didier Angheben qui ont voulu partager leurs expériences drôles et insolites.

C’est à travers un livre de 130 pages, « Les petites âneries du permis de conduire » que ces 3 moniteurs ont transmis leurs expériences. Illustré, drôle et tendre, ils ont gardé le meilleur du meilleur des perles qu’ils ont connues.

Avec des anecdotes sur plusieurs catégories comme : Démarrer – S’arrêter – Se garer, Contrôle technique ou encore le jour J, ce drôle de petit livre va vous faire rire et surtout vous rappeler des situations que vous avez sûrement vécues. 

Un petit avant goût :

  • « Je me dis que, comme je n’arrive pas à apprendre à conduire, je devrais devenir moniteur. Peut-être que ça m’aiderait. »

  • « Est-ce que les limitations de vitesse sont valables aussi pour les marches arrière ? »

  • « Pour freiner, je suis obligé d’arrêter d’accélérer ? »

  • « Une élève à sa monitrice : Et sinon, à part ça, tu fais quoi comme métier ? »

Si vous voulez passer un moment drôle et léger n’hésitez pas à lire ce livre des éditions Bourdin

Et vous ? Avez vous des anecdotes insolites à nous raconter ? Nous nous ferons un plaisir d’en faire une compile dans un prochain article ! 


Permis de conduire, les chiffres clés de 2014

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Chiffres2014PC

La Délégation à la Sécurité et à la Circulation Routière (DSCR) a publié au début du mois de mars les chiffres relatifs au permis de conduire en 2014. Des chiffres qui montrent un permis B en hausse alors que le permis moto a, quant à lui, baissé légèrement.

En 2014, les préfectures ont enregistrées 1 181 647 nouveaux élèves au permis de conduire, soit une importante hausse de 10,3% par rapport à 2013 venant ainsi en opposition aux deux années précédentes qui avaient connu une baisse.

C’est au total, toutes épreuves confondues, 3 199 854 examens (44% d’examens théoriques et 56% d’examens pratiques) qui ont été réalisés en 2014, soit une augmentation de 3,1% par rapport à 2013. Des chiffres qui prouvent que le permis de conduire est encore une grande préoccupation pour les Français.

Le taux de réussite à l’ETG a aussi continué sa progression à la hausse, atteignant 70,5%, soit un point de plus qu’en 2013. Depuis 2010, cette donnée a augmenté de 7,3 points au total. Les conducteurs sont mieux formés par des auto-écoles de plus en plus performantes. C’est finalement 999 117 personnes qui ont reçu le précieux sésame en 2014.

Le permis B a aussi connu en 2014 une hausse de fréquentation très remarquable. C’est en effet 1 363 390 examens du groupe léger ont été réalisés contre 1 293 050 en 2013, soit une augmentation de 5,4%. Cette hausse de fréquentation est aussi suivie par une hausse des résultats positifs, 821 184 en 2014 contre 762 091 l’année précédente. La conduite accompagnée a la côte, 24,08% des admis au permis B en sont issus.

Vous pouvez retrouver l’ensemble de l’étude concernant le permis de conduire ainsi que les chiffres de la sécurité routière sur le communiqué officiel de la DSCR.

En attendant les chiffres de 2015, on remarque que les auto-écoles ont encore de belles années de formation à prévoir avec des candidats toujours plus nombreux. La réforme du permis de conduire va t’elle selon vous avoir un impact (positif ou négatif) sur ces chiffres ? 


Bien gérer sa page Vroomvroom.fr

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Trouver de nouveaux candidats n’est pas toujours une chose facile. L’intensité concurrentielle du secteur de l’auto-école est très importante et peut donc être un obstacle pour certains candidats dans leurs recherches d’auto-écoles.

Vroomvroom est le premier comparateur d’auto-écoles, plus de 1,7 millions de candidats ont consulté ce comparateur en 2019. Il est donc important de vous démarquer et d’avoir une page optimale pour trouver de nouveaux élèves. Comment rendre votre page optimale ?

Mettez de belles photos représentatives

Les photos sont indispensables pour donner une première image aux futurs élèves. Elles permettent de mettre en valeur votre auto-école et surtout de la valoriser. L’idéal est de pouvoir illustrer à l’aide de belles photos toutes les étapes, à savoir : les voitures (les candidats veulent savoir sur quelle voiture ils vont apprendre à conduire), la devanture (c’est un repère pour les futurs candidats), l’accueil (c’est un moyen de donner envie aux candidats), l’équipe (connaître l’équipe avant de s’inscrire permet de créer une relation de proximité) et une photo de la salle de code (afin de donner envie aux candidats de s’installer et d’apprendre chez vous).

La description, un point primordial

Elle doit être d’une clarté absolue et mettre en évidence vos valeurs tant au niveau de l’apprentissage qu’au niveau de votre mode de fonctionnement. N’hésitez pas non plus à détailler vos différentes formations et vos horaires de bureau et des leçons (conduite et code). Indiquez clairement aussi la proximité des transports qui permet aux candidats de pouvoir prévoir son itinéraire. Présenter votre équipe dans la description est aussi un atout majeur afin de créer de la proximité, le candidat pourra alors se sentir déjà intégré au sein de votre auto-école. Toutes ces indications vont permettre aux futurs élèves de pouvoir, dès la recherche, se projeter dans votre école.

Afficher les tarifs, oui ou non ?

L’affichage des tarifs est une bonne chose si vos prix représentent un avantage concurrentiel. En effet, si vous êtes moins chers ou tout juste au prix du marché, vous allez pouvoir le montrer directement aux candidats. En revanche, si votre stratégie est plutôt basée des prix un peu plus élevés, les candidats vont s’accrocher à vos valeurs plutôt qu’à vos prix. Il n’est donc pas indispensable de les afficher. L’affichage des prix doit correspondre à votre stratégie.

L’importance des avis

Les avis sur votre auto-école sont un point à ne pas négliger, c’est l’image de votre école sur Internet. Vous avez la possibilité de les vérifier afin de garantir leur authenticité alors n’hésitez pas car cela prouve que les avis sont bien postés par des élèves qui ont fait leur apprentissage chez vous. Qu’ils soient bons ou mauvais, les réponses aux avis permettent de prouver votre implication dans la relation client. Dans le cas d’un bon avis, répondre par exemple « merci pour votre commentaire, c’était un plaisir de travailler avec vous » prouve que vous apportez de l’attention aux avis positifs et à vos élèves. Dans le cadre d’un avis négatif, reprenez les faits de façon personnalisée afin de montrer aux futurs élèves les deux versions des faits et les laisser se faire leur propre avis.

Les liens vers vos réseaux

Si vous disposez d’une page Facebook, Instagram ou bien d’un site internet, mettez les liens car cela permet aux futurs élèves d’aller voir vos différents supports et donc de se faire un avis supplémentaire ou même de confirmer leur position sur votre école.

Animer votre page avec une vidéo

Vous avez par exemple la possibilité de faire une petite vidéo où vous mettez en scène un de vos moniteur pendant une leçon de code ou de conduite afin de montrer votre professionnalisme mais aussi de créer de la proximité et de l’empathie.

Avoir une page Vroomvroom optimale permet donc aux futurs élèves de se visualiser dans votre auto-école et donc de vous aider à trouver de nouveaux candidats. La page Vroomvroom est aussi un moyen de combler un manque d’information si vous n’avez pas de site internet par exemple.

Ne la négliger pas, elle peut vous offrir une visibilité maximale et si elle est complète et optimisée, elle aidera aussi les élèves à se projeter et donc à vous choisir !

Si vous avez des questions à propos de la gestion de votre page ou si vous souhaitez passer en mode premium, n’hésitez pas à vous rendre sur la page professionnelle de Vroomvroom.fr.


Remise en cause de l’attribution des places au permis

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L'autorité de la concurrence

L’autorité de la concurrence a publié, mercredi dernier, un avis sur le projet d’arrêté concernant l’épreuve pratique du permis de conduire. En effet, d’après elle, il faut revoir la répartition entre les auto-écoles des places à l’examen pratique du permis de conduire.

L’autorité de la concurrence estime que le projet d’arrêté ne respecte pas la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques préconisées par la loi Macron le 6 août 2015 entre les auto-écoles. En effet, cet article dispose que la répartition des places pour l’épreuve pratique du permis de conduire doit être objective, transparente et non discriminatoire. D’autre part, elle ne doit pas porter atteinte à la concurrence entre les écoles de conduite. Il doit y avoir un égal accès pour les élèves aux places d’examens.

Le gendarme de la concurrence explique que la répartition des places ne doit pas être basée sur l’activité passée de chaque auto-école mais selon les besoins mensuels de celles-ci.

D’autre part, l’autorité de la concurrence aimerait que les candidats au permis de conduire puissent s’inscrire directement en ligne après les 20 heures obligatoires de conduite, à défaut de passer forcément par une auto-école. Cela permettrait de diminuer les délais d’attente, qui s’élèvent en moyenne à 72 jours environ en France.

N’hésitez pas à consulter le communiqué complet sur le site officiel de l’autorité de la concurrence.

Que pensez-vous de la répartition des places d’examens ? 


Eagle-360 : les pneus futuristes de Goodyear

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Eagle360_pneus_futuristes_goodyear

Au salon de Genève, le 86ème Salon International de l’Automobile, la compagnie américaine Goodyear Tire and Rubber Company fabriquant de pneus, entre autre, pour les automobiles, a présenté des pneus futuristes de forme sphérique. D’après elle, cette forme serait parfaitement adaptée aux voitures autonomes.

Depuis le premier modèle de voiture introduit dans le monde, la seule chose n’ayant jamais changé est inévitablement la forme des pneus : elle est, depuis toujours, ronde. Ainsi, lorsque Goodyear introduit des pneus de forme sphérique, l’étonnement est immense. Ce pneu, imprimé en 3D, se nomme Eagle-360. Il devrait d’après eux, équiper les prochaines voitures. Pourquoi cette forme serait-elle plus adaptée aux voitures que l’ancienne ? Tout simplement parce qu’elle serait plus maniable, explique la société.

En effet, cette forme de pneu permettrait à la voiture d’aller dans toutes les directions possibles. Ainsi, un changement de direction latérale permettrait au véhicule de ne pas forcément changer de cap. Ou encore, cela permettrait de réaliser un créneau de manière beaucoup plus facile. Nous connaissons déjà qui seront les plus heureux dans cette révolution !

Plus innovant encore, la fixation de ces pneus à la voiture : ils seraient reliés au véhicule grâce à un champ magnétique, ce qui est pour le moins très impressionnant.

Enfin, le roulement des roues et les motifs de ces pneus permettraient une efficacité maximale face aux intempéries. Goodyear annoncerait-elle la fin de l’aqua-planning ?

Que pensez-vous de cette révolution technologique ?