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Le bouche-à-oreille : quelle réalité aujourd’hui ?

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Avant l’explosion des réseaux sociaux, les élèves choisissaient leur auto-école qu’en fonction de celles fréquentées par leur entourage. Aujourd’hui, il existe d’autres outils utilisés par les élèves. Il faut miser sur ceux-ci.

C’est parti pour une explication de ces outils :

1/ Les taux de réussite

Depuis la loi Macron, toutes les auto-écoles doivent fournir leurs taux de réussite. Ils sont considérés, désormais, comme de la donnée publique comme le prouve la loi de 1978 de la Commission d’Accès aux Documents Administratifs. Les élèves peuvent se fier à ce genre de données plus probantes que le bouche à oreille.

 

2/ Le site internet

Lorsque l’on cherche un renseignement, notre automatisme est de se tourner vers Internet. Pour trouver son auto-école, c’est la même chose. Les comparateurs d’auto-écoles, les pages Facebook, les sites internet sont donc nécessaires pour accroître son nombre d’élèves. Plusieurs agences spécialisées dans la création de site internet pour les auto-écoles se créent. Il faut que votre site soit ergonomique, à savoir simple à lire et constituer de toutes les informations principales. Construisez votre site en suivant un fil rouge en commençant par choisir la/les couleur(s) de votre auto-école.

 

3/ La page Facebook

Facebook est un excellent moyen de se faire connaître. Avec 20 millions d’utilisateurs en France, Facebook vous garantit de toucher un large public. Les amis de vos élèves peuvent voir les pages qu’ils ont « liké » et ainsi découvrir l’auto-école dans laquelle ils sont. Profitez-en pour écrire des posts souvent (2-3 fois par semaine) afin de rester toujours actifs. Par exemple, partagez des photos de vos élèves avec leur CERFA à la main.

 

 

Le bouche-à-oreille reste un bon moyen pour se faire connaître. Utilisez les moyens gratuits mis à votre disposition par internet pour accroître votre notoriété. Nous vous proposons de lire un article plus détaillé sur ces nouvelles techniques de communication.

 


Les nouvelles voitures à ne pas manquer en 2015 !

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Retour sur certaines voitures a succès en cette année 2015. Les constructeurs, vers qui les auto-écoles se tournent pour acheter leurs véhicules-écoles, ont sorti de nouvelles voitures. Nous vous proposons un petite liste de ces voitures qui seront, peut-être, vos prochains véhicules.

Nous sommes allés à la pêche aux nouveautés en observant le Salon de Genève 2015 :

 C4

[quote align=’right’]Commençons par Citroën. Nous connaissons tous l’éternel C4, sortie en 2010. Le constructeur vous propose une C4 restylée. L’extérieur est sensiblement le même que les anciennes C4. Mais le constructeur mise sur l’habitacle en ajoutant un système d’accès et démarrage sans clés. Un écran tactile prend la place des anciens boutons en console et sur le volant. Testez cette voiture et vous vous accorderez à dire que la boîte automatique n’avait jamais été si agréable chez Citroën. [/quote]

 

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Peugeot 208

[quote align=’left’]C’est maintenant le géant Peugeot qui se lance dans la revisite en matière de style de ses voitures. La fameuse Peugeot 208 subit un petit lifting mais, conserve son aspect élégant et épuré. Concernant l’habitacle, l’enseigne a préféré maintenir son design.[/quote]

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Kadjar

[quote align=’right’]Renault profite du Salon de Genève 2015 pour, enfin, nous dévoiler son nouveau crossover : le Kadjar. Cette fois-ci Renault propose un véhicule spacieux, avec un extérieur musclé. L’intérieur, quant à lui, est plutôt classique. Le gros plus de cette voiture réside dans la technologie embarquée. Comme le Renault Espace, ce véhicule a un système de freinage d’urgence automatique et de reconnaissance des panneaux de signalisation. Quelle voiture du futur ![/quote]

 

 

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Espace V

[quote align=’left’]Arrêt sur image sur le nouveau Renault Espace. La 5e génération du père de l’Espace est enfin disponible. C’est avec un nouveau modèle, moins vaste mais plus cossu, que Renault réimpose le style monospace. D’ailleurs, le constructeur vous demandera de ne plus employer « monospace » mais crossover. Vous imaginez donc qu’il y a des répercussions sur le physique du véhicule. En effet, il est moins large mais conserve son coffre aux amples dimensions. L’ambiance à l’avant est spectaculaire. Vous êtes dans un cockpit avec tout ce qu’il faut pour piloter comme il se doit un Espace.[/quote]

 

 

 

 

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DS 5

[quote align=’right’]Certains de vous ont équipé leur auto-école de DS ou bien se tournent vers ce genre de modèle. Alors profitez de la sortie de la nouvelle DS 5 sachant qu’elle est commercialisée depuis Juin ! DS effectue un revirement de la gamme. Désormais, elle ne s’appellera plus Citroën DS mais seulement DS. La marque souhaite se différencier de Citroën. Celle-ci a donc modifié le physique du véhicule en optant pour un design particulier. En effet, l’éternel double chevron a disparu mais le constructeur offre une nouveauté digitale. Vous pourrez télécharger l’application MyDS afin de vous accompagner dans vos déplacements.[/quote]

 

 

 

 

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Vous n’avez plus qu’a les essayer et a vous informer sur les nouvelles voitures à hydrogène de Toyota ou Hyundai dans cet article !


Groupon pour mon auto-école : intéressant ou pas ?

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Groupon

Groupon, c’est quoi ?

Groupon, lancé aux Etats-Unis en 2008, est un site de commerce en ligne basé sur le concept de l’achat groupé géolocalisé. Les offres varient donc en fonction des régions et des pays. Le principe est simple : un groupe de personnes s’unit pour acheter et profiter d’une offre.
Du fait de la nature « groupée » des achats , Groupon peut négocier des réductions très importantes, qui varie de 50 à 90%.
Les offres ou « Deal » sont valables pour une durée limitée dans le temps.

Groupon

 

 

 

 

 

 

 

 

Groupon peut-il être utile pour mon auto-école ?

Groupon est à utiliser avec beaucoup de précautions. La plupart des franchises d’auto-écoles ont interdit l’utilisation du concept, car il peut être dévastateur pour un établissement de conduite. En effet, la mécanique du dispositif est non seulement de réduire de 30 à 50% vos tarifs, mais également de laisser entre 15% et 30% du montant qu’il vous reste à Groupon.

Résultat :

  • il vous reste 30% du tarif d’origine de votre prestation ! Pour rattraper ce manque à gagner, l’auto-école n’a qu’une seule option : se rattraper sur les heures forfaits des élèves …
  • vous avez d’un coup 60 à 80 inscriptions : il faut gérer les plannings, les places d’examens, etc… !

Ce concept peut, sous certaines conditions bien maîtrisées, être utilisé pour lancer ou relancer votre auto-école. Mais il ne peut en aucun être un mode de fonctionnement régulier ou répétitif.

C’est pourquoi il est important de se poser les bonnes questions avant de se lancer : suis-je en mesure de proposer une vraie offre qui ne me coûte pas d’argent ? Suis-je en mesure de répondre à la demande ? Vais-je pénaliser mes clients existants si j’ai un afflux important de nouveaux clients ?

Quelles sont les contraintes ?

Une des contraintes est de faire de (très) grosses réductions. C’est le seul moyen de vendre des coupons et de pouvoir ainsi se rémunérer.

Attention à ne pas être trop restrictif sur les conditions d’utilisation de votre bon.
Si votre offre n’atteint pas l’objectif fixé, elle sera invalidée.
Vérifiez également que votre ville est couverte par le site. Groupon référence 80 villes mais pas tout l’hexagone.

Existe t-il d’autres alternatives à Groupon ?

VroomVroom.fr propose aux auto-écoles de mettre en place des offres spéciales. L’approche est radicalement différente : Vous renseignez :

  • Le nombre de coupons à vendre
  • La date limite d’inscription et les modalités d’inscription

Ici et contrairement à Groupon, il n’est pas obligatoire que les places soient toutes vendues pour que les clients bénéficient de l’offre. Lorsqu’un élève souhaite en profiter, il achète un coupon en versant un acompte et paiera le reste directement à l’auto-école lors de son inscription.

Vous restez donc maître de votre budget, de vos marges, et de votre volume d’inscription.

Les offres spéciales

 

Et vous, que pensez-vous de Groupon ? Avez-vous déjà essayé ?


La Loi Macron et les voitures à double commande

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Les voitures à double commande

Après avoir lu dans le détail le texte de la Loi Macron sur le site de l’Assemblée Nationale, un autre élément nous a interpellé : la réglementation de la location des voitures à double commande. 

On vous laisse lire :

« L’apprentissage en « conduite libre » sur des véhicules à double commande, possible à partir de l’âge de 18 ans sous réserve que l’accompagnateur ait suivi une formation à l’utilisation de ce type de véhicule, sous peine de sanctions pénales introduites par le présent amendement (article L. 211-6).

Cet amendement s’inscrit dans la démarche lancée par le Gouvernement par voie réglementaire depuis le 2 novembre 2014 pour promouvoir la conduite accompagnée, à travers une campagne de communication et l’abaissement de l’âge minimal d’accès à l’AAC à 15 ans qui permet de passer l’examen pratique dès 17,5 ans.

Un décret en Conseil d’État définira les conditions d’application de cet amendement, et notamment :

– les conditions que devra remplir l’accompagnateur (ancienneté du permis de conduire, accompagnement non rémunéré, modalités de formation nécessaires pour la conduite libre sur un véhicule à double-commande …) ;

– les conditions dans lesquels une attestation de fin de formation sera délivrée à l’élève en conduite supervisée à l’issu de sa formation initiale dont la durée pourrait être fixée à 20 heures… »

Les loueurs de voiture pourront-ils donc embaucher des moniteurs avec le BEPECASER ? S’agit-il d’un assouplissement de la loi en faveur des loueurs de voitures à double commande ? Ce système pourrait en effet renforcer la concurrence face aux auto-écoles traditionnelles puisque les élèves pourront ainsi prendre plus facilement des heures de conduite sans passer par un établissement.
Le texte reste un peu flou mais pourrait permettre aux organismes de location de voiture à double-commande de fortement concurrencer les écoles de conduite traditionnelles.

Qu’en pensez-vous ?


Entretien avec le Président d’Ediser

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EDISER

Le groupe EDISER, acteur incontournable du marché de l’auto-école travaille à leur côté depuis 19 ans et possède une vision très large de cette profession.
Nous avons eu la chance et le plaisir de nous entretenir avec son Président, Xavier Consorti pour qu’il nous partage sa vision de l’avenir de la profession.

EDISER

Quelle est votre vision du marché de l’auto-école aujourd’hui ?

Pour lui, le constat est formel : on observe depuis quelque temps une vraie transformation. Les auto-écoles évoluent et s’adaptent à leur époque. Si elles ont toujours travaillé avec du contenu multimédia, elles sont aujourd’hui encore plus connectées pour répondre aux attentes des nouvelles générations « digitales ».

Les nouvelles écoles de conduite cherchent à définir leur propre identité. Elles doivent reconsidérer leur fonctionnement et répondre aux attentes du Ministère de l’Intérieur. Elles on en effet tout intérêt à s’investir dans la traçabilité mise en avant par ce dernier.
Il est aujourd’hui plus qu’important de connaitre l’avancement d’une formation et pour cela il est utile de savoir ce que font les moniteurs avec leurs élèves. Les auto-écoles ont tout avantage à être sérieuses dans la formation : en préparant les élèves correctement, ils pourront être présentés plus rapidement à l’examen, le roulement sera plus facile et l’auto-école gagnera des élèves.

Selon notre interlocuteur, pas de doute, il est plus intéressant et plus pédagogique pour un élève, d’être formé par une auto-école plutôt que de se présenter en candidat libre.

D’autre part, l’une des transformations les plus évidentes est l’augmentation du prix du permis.
Si la Loi Macron met en place des nouveautés pour en baisser le prix, il risque de se vider de sa substance et de perdre en qualité. En faisant des économies au départ, on risque de payer les frais avec une augmentation de l’accidentologie.

Mais qu’en est-il de la formation ?

Pour Xavier Consorti, un redécoupage de la formation est nécessaire pour optimiser la capacité des formateurs.

Si les outils EDISER permettent d’évoluer avec son époque et de travailler plus facilement, il faut également se pencher sur la formation en elle-même.
Selon lui, il faudrait mettre en place une première situation sur simulateur pour les élèves débutants, encadrés par un moniteur. Puis des cours de groupes d’élèves plus avancés, mis face à des situations d’accidents pour ensuite pouvoir les analyser avec le moniteur présent.
Cette approche plus comportementale plaît beaucoup aux élèves et permet de leur apprendre les bons réflexes à adopter.
Enfin viendrait la phase de conduite avec, entre autres, des situations d’insertion sur autoroute pour rendre les leçons plus vivantes.

Les auto-écoles sont donc en pleine évolution et gagnent à bousculer quelque peu leurs habitudes.

Merci encore à Xavier Consorti, pour avoir répondu à nos questions !


Les avancements de la Loi Macron

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Les avancements de la Loi Macron

Qu’en est-il des avancements de la Loi Macron ?

 

Quelques nouvelles de la Loi Macron. Malgré ses passages devant les différentes chambres du Parlement, le projet de loi fait encore débat et divise toujours autant.

Il a été adopté le 18 juin dans sa version issue de la commission mixte paritaire et a été transmis au Sénat pour une deuxième lecture.
Le texte a été modifié et revient sur certains points.

Petit récapitulatif des avancements de la Loi Macron:

Les 20 heures de conduite sont rétablies.
Si le projet de loi prévoyait d’abord d’annuler les 20 heures de conduite minimum, l’Assemblée Nationale a finalement décidé de les conserver.

Le contrat entre l’auto-école et l’élève pourra maintenant être conclu à distance.
Il devra être signé après une évaluation préalable de l’élève dans les locaux ou une voiture de l’auto-école.
Cette dernière précision tend à privilégier les auto-écoles traditionnelles, mais est ce vraiment pénalisant pour une auto école en ligne ? Peut-on faire passer l’évaluation n’importe où France tant que cela se passe dans une voiture de l’auto-école ? Quelques précisions seraient nécessaires.

La réduction du temps d’attente pour repasser le permis de conduire mise en oeuvre.
Le délai d’attente pour les candidats ayant raté leur permis devrait passer à termes de 98 à 45 jours. Pour garantir que le délai n’excède pas cette durée, des agents publics ou contractuels pourront faire passer des épreuves de conduite.

L’affichage des taux de réussite est finalement supprimé mais une démarche de qualité certification/labellisation des écoles de conduite est créée.

Suppression de l’amendement qui réintroduisait la condition d’ancienneté du permis de conduire pour l’exploitation d’une école de conduite.

La répartition des places d’examens a évolué.
Elle se ferait désormais en partie en fonction du nombre d’enseignants dans une auto-école. Ce système permettrait d’écarter le danger de voir des moniteurs indépendants prendre le pas sur la profession. Mais à première vue, ce système semble pénalisant pour les petites auto-écoles qui risquent d’être défavorisées. On vous laisse lire le texte :

« Art. L. 213-4-1. – La répartition des places d’examen au permis de conduire attribuées aux établissements d’enseignement de la conduite et de la sécurité routière est assurée dans des conditions objectives, transparentes et non discriminatoires, ne portant pas atteinte à la concurrence entre ces établissements. Ces places sont attribuées aux établissements d’enseignement de la conduite et de la sécurité routière en fonction notamment du nombre d’enseignants à la conduite dont ils disposent, et de manière à garantir l’accès des candidats libres à une place d’examen. « 

– Les démarches de l’obtention de l’agrément sont facilitées.
L’agrément était délivré par l’autorité administrative, après avis d’une commission. Il ne sera maintenant plus nécessaire de passer par la commission. Cela permettrait d’aller plus vite et de gagner du temps mais l’administration serait alors seule décisionnaire… est-ce vraiment une bonne idée ?

Le texte va être relu et peut encore être modifié.
Rien n’est fait et l’aventure continue !

Pour plus d’informations, vous pouvez lire le texte du projet de loi : cliquez ici.

Nous vous tiendrons au courant dans les prochaines semaines, s’il y a du nouveau !


Une voiture à hydrogène dans votre auto-école ?

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Nous sommes tous d’accord pour dire que le prix du pétrole est bien trop élevé, depuis plusieurs années. Des chercheurs américains ont donc voulu enrayer cette crise en trouvant le moyen d’exploiter un des atomes de l’eau comme carburant : l’hydrogène, l’élément le plus présent sur la planète, non polluant et non toxique.

A l’avenir, nous pourrons donc faire de gigantesques économies en carburant tout en réduisant notre empreinte carbone.

 

Comment fonctionne une voiture à hydrogène?

HSBC prévoit que nous n’aurons plus de pétrole d’ici 50 ans. Les grands de l’automobile se lancent ainsi dans la fabrication de moteurs à hydrogène, substituts à l’essence polluante. Les voitures n’auront besoin que d’un moteur électrique, d’une pile à combustible et d’un réservoir à hydrogène pour rouler.

Comment cela fonctionne ? C’est une voiture électrique qui produit sa propre électricité dans la pile à combustible alimentée par l’hydrogène. En définitive, la voiture “aspire” de l’air et ne rejette que de la vapeur d’eau.

 

La « Mirai » de Toyota : une révolution?

Toyota est la première entreprise à avoir commercialisée au grand public une voiture à hydrogène. Elle s’appelle “Mirai” ce qui signifie “voyage dans le futur” en japonais. Son nom veut tout dire dans la mesure où, à terme, nous devrons utiliser des technologies non polluantes. A l’origine, Toyota comptait produire 700 Mirai en 2016. Mais la demande est si élevée qu’ils en produiront près de 2000!

Pour autant, deux nuances sont à faire. D’une part, elle vaut très chère ( 78 600€) et d’autre part, elle n’est pas commercialisée en France pour l’instant dû au manque d’infrastructures nécessaires à l’extraction de l’hydrogène et à sa distribution.

Par ailleurs, sur les traces de Toyota, Hyundai lance sa voiture « Tucson FCEV »  à pile combustible courant 2016. Une bataille sur ce marché est à prévoir…

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Hyundai baisse déjà le prix de sa Tucson FCEV de 43% en Corée pour concurrencer la Mirai de Toyota.

 

Quels réels intérêts de passer à la voiture à hydrogène ?

A long terme, la voiture à hydrogène coûtera a priori moins cher à nos porte-monnaies. Il ne faut que 5L d’hydrogène pour rouler 500km contre 40L d’essence en moyenne, pour une voiture traditionnelle, pour le même parcours. La voiture en elle-même est très silencieuse car les composants de la pile à combustible sont presque inaudibles. Enfin,  le rendement du moteur à hydrogène est entre deux et trois fois supérieurs à celui de nos voitures conventionnelles.

Quel intérêt pour les auto-écoles à termes ? Des économies de carburant, et une image éco-responsable forte !

 

Une dernière innovation par Tesla

La concurrence vient également de la Californie. Tesla, start-up américiane, a fait le choix de l’électrique et s’est lancé dans la fabrication d’une nouvelle gamme de berlines électriques très puissantes. Certes, les deux moteurs (avant et arrière) de cette voiture ne fonctionne pas avec une pile à combustible mais cette voiture révolutionne la monde de l’automobile électrique. Pour effet, cette voiture passe de 0 à 100km en 3.3 secondes et a une autonomie de 502km contre 150km pour une électrique lambda.

Voici le modèle S qui ne vous coûtera que le modique somme de 62 900€.

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Affaire à donc suivre pour voir si l’hydrogène deviendra l’alternative au pétrole polluant que nous mettons dans les voitures.


Personnaliser son site pour se démarquer !

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Démarquez vous !

Astuces pour se démarquer grâce à un site personnalisé !

 

La plupart des auto-écoles ont maintenant leur site internet, alors comment se différencier ? Misez sur des éléments qui sont parfois mis de côté et qui peuvent pourtant faire toute la différence ! L’important est de personnaliser votre site afin qu’il soit unique et reflète votre vision de votre auto-école. Voici 4 astuces pour se différencier facilement.

1) Présentez votre équipe

Humanisez votre auto-école en présentant votre équipe. Mettez une photo de chaque acteur, leur parcours et leur rôle dans l’établissement. Vous créez ainsi une impression de proximité et d’accessibilité.
Vous pouvez être décalé, sérieux, drôle… à vous de voir quelle image vous souhaitez renvoyer.

(MM création)

2) Racontez une histoire

Le « storytelling », le fait de raconter son histoire, est un pan important de la personnalisation de votre site.
Votre auto-école a forcément une histoire. Une date de création, un début, un développement, une valeur ajoutée, une équipe, des services et produits, une localisation et des références qui font qu’elle est spéciale.
Racontez votre parcours, ce qui vous a poussé à créer votre établissement de conduite et la pédagogie que vous utilisez aujourd’hui.

Appuyez vos textes de photos représentant vos produits, vos locaux, votre entreprise. Des photos de préférence uniques, si possible prises par un professionnel (les photos sombres ou mal cadrées sont peu flatteuses). Si vous avez des vidéos, c’est encore mieux.

Se démarquer

(Edukar)

3) Soignez vos témoignages clients

Les témoignages clients rassurent vos prospects.
Ils peuvent permettre de personnaliser votre site, à condition de bien vous y prendre. Ajoutez la photo de l’élève, leur nom, prénom, cela rendra l’avis plus authentique.

Se démarquer

(Ecole de conduite du Centre)

4) Faites savoir qu’on parle de vous

Si votre auto-école a déjà été citée dans des journaux ou sur des sites internet, c’est l’occasion d’en parler ! Les élèves apprécieront savoir que votre auto-école a une certaine renommée (même toute petite).

Ces astuces peuvent créer une réel valeur ajoutée à votre site et faire la différence avec les autres. Pour se démarquer, il faut personnaliser son site pour faire en sorte qu’il reflète parfaitement votre vision du métier et l’esprit de votre auto-école.


Saisissez les nouvelles tendances de communication !

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Vos élèves font partie d’une génération ultra-connectée. Ils envoient des SMS dans les salles de code, reçoivent des notifications d’une multitude d’applications et sont joignables n’importe quand. On dénombre (d’après une étude du GWI Social Q4 2014 : The latest social networking trends) que les 16-24 ans on entre 6,6 comptes, contre 5,5 en moyenne.

Comment les suivre sur ces plates-formes de communication tendances ?

Il faut le faire via les réseaux sociaux qui sont de bons moyens pour garder contact avec eux. Ils sont connectés sans arrêt et passent même environ 2 h 02 par jour sur leur smartphone.

 

Alors suivons-les !

 

1 – Créez un site Internet

Faites un site Internet ergonomique avec un contenu simple et rapide à comprendre.  Il faut utiliser votre site Internet comme une vitrine online de votre auto-école. Ajoutez-y donc des photos de vos locaux, de vos équipes ainsi que des informations nécessaires sur votre auto-école telles qu’une adresse, un numéro de téléphone.

 

2 – Ayez une page Facebook

Pourquoi aller sur Facebook? Tout simplement car la tranche d’âge qui utilise le plus ce réseau social est celle qui vient passer son permis chez vous. Vous avez donc potentiellement toutes vos chances d’y retrouver tous vos élèves.

Alors communiquez via une page Facebook pour rester proche d’eux.

 

3 – Publiez sur Twitter

Avec 500 millions de tweets envoyés chaque jour, entrez dans la partie !

Vous aurez la possibilité de poster des messages de 140 mots maximum que les personnes qui vous suivent pourront voir affichés dans leur fil d’actualité. Si vous postez des informations percutantes, vos followers partagerons sûrement vos dires. Ainsi vos messages auront une vraie valeur ajoutée.

 

4 – Ayez un profil Linkedin

La dynamique de Linkedin est plus professionnelle que sociale. En effet, les entreprises ont des profils afin d’exploiter tous les terrains des medias sociaux.

Il s’agit de savoir que les 18-25 ans sont de plus en plus enclin à se créer un profil sur Linkedin pour suivre les entreprises dans un but professionnel. Donc il est intéressant pour vous, en tant qu’auto-école, de vous inscrire afin de prévoir votre présence sur tous les fronts.

 

5 – Créez une page Instagram

Instagram est le réseau social de partage de photo par excellence. En effet, les jeunes de 16-25 ans sont très présents sur cette plate-forme. Ce média est pratique pour montrer à vos futurs élèves le côté chaleureux, la bonne ambiance mais surtout la qualité de votre auto-école.

Alors pourquoi ne pas poster des photos de vos candidats ayant obtenu leur permis de conduire sur votre page Instagram?

 

En définitive, nous vous conseillons de vous inscrire sur les différentes plates-formes de réseaux sociaux afin d’augmenter votre visibilité auprès de vos élèves et vos futurs élèves !

 


Les anecdotes insolites de la conduite. Vol 3

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Anecdotes insolites

Parce qu’il s’en passe des histoires sur la route, on vous raconte 3 anecdotes insolites !

Elle roulait sans permis depuis… 34 ans !

C’est après avoir grillé un feu rouge, qu’une conductrice âgée de 54 ans se fait arrêter par la police. Les policiers découvrent alors qu’elle n’a jamais eu son permis mais conduit tout de même depuis 34 ans.  Elle n’avait jamais été arrêtée ou contrôlée depuis tout ce temps. Heureusement pour la conductrice qui n’a jamais eu les moyens de passer le permis, le tribunal correctionnel de Tours ne l’a condamné qu’à 400 euros d’amende.

Il conteste son PV pour impossibilité technique !

Flashé à 158 km/h, Dale Lyle, un jeune anglais risquait 1000 euros d’amende et une suspension de permis de 6 mois. Mais le conducteur, persuadé de son innocence a décidé de ne pas se laisser faire en prouvant qu’il ne peut pas atteindre cette vitesse avec sa voiture. Déterminé, il fait analyser sa voiture par un expert et le résultat tombe : impossible pour sa voiture de dépasser les 137 km/h. Les poursuites seront donc abandonnées. Comme quoi, la détermination a du bon !

Il confond un parking avec la bouche de métro !

Anecdotes insolites

Scène inhabituelle à Paris : un 4×4 plongé en haut des escaliers du métro. Le jeune conducteur de 26  ans, distrait, a confondu la bouche de métro avec l’entrée d’un parking. Par chance, il n’y a eu ni blessés ni dégâts ! La police a immédiatement procédé à un contrôle d’alcoolémie du conducteur qui s’est révélé être négatif.

On vous concocte d’autres anecdotes insolites pour plus tard !