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Veille juridique : Arrêté du 19 décembre 2023 relatif au livret d’apprentissage numérique

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Veille juridique Auto-école

Après le décret instaurant le permis à 17 ans, paru la semaine dernière, la Déléguée interministérielle a la Sécurité routière a pris, le 19 décembre un arrêté relatif au livret d’apprentissage numérique. Ce décret est paru aujourd’hui, 27 décembre 2023, au Journal officiel.

Ce texte participe à la mise en œuvre de la loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités qui indique qu’un livret numérique doit être ouvert à chaque élève (article L. 211-2 du code de la route).

Le livret d’apprentissage numérique devient obligatoire pour chaque catégorie de permis de conduire, et pour tout élève débutant la partie pratique de sa formation B ou motocyclette à compter du 1er janvier 2024 et PL ou BE à compter du 1er mars 2024. Le texte précise que les élèves ayant validé leur inscription (AIPC) avant le 1er janvier 2024 pour les catégories B et motocyclettes et avant le 1er mars 2024 pour les catégories poids-lourd et BE peuvent continuer à utiliser un livret papier sans limitation de durée.

Il intègre également l’obligation pour les établissements agréés de déclarer dans le livret d’apprentissage numérique d’un candidat son inscription à l’une des cinq formations qualifiantes. L’intégration des formations qualifiantes au livret numérique permettra de développer l’application CONSTA pour un meilleur contrôle de ces formations au cours de l’année 2024.

Par ailleurs, d’autres dispositions ont été clarifiées. Désormais, seule l’AIPC ou le récépissé prévu à l’annexe I justifient dans leur version papier ou dématérialisée de la qualité d’élève conducteur lors des formations sauf lors de l’évaluation préalable prévue à L. 213-2 qui ne nécessite, par définition, pas d’enregistrement préalable.

Bonnes fêtes à toutes et à tous🎄


La cartographie des écoles de conduite sur le site de la sécurité routière mise à jour

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Cartographie auto-école sécurité routière

Les écoles de conduite ont été informées par leur BER que le site de la cartographie des écoles de conduite vient d’être mis à jour. Plus d’un an après sa mise en ligne, certains des problèmes signalés dans notre dernier article ont été corrigés mais pas tous.

Sont désormais affichés les taux de réussite et nombre d’examinés pour les 3 groupes de permis par auto-école pour tous les départements à partir de données extraites le 14/12/2023 pour la période allant du 1er septembre 2023 au 30 novembre 2023. S’agissant des auto-écoles disposant d’un agrément valide mais sans résultats associés (cas des bureaux pour lesquels la gestion a été mutualisée sous un seul compte), le message suivant est affiché : « Pas de statistiques disponibles pour cet établissement sur la période. »

Conscientes des grosses lacunes du site, la DSR a multiplié les messages d’avertissement : « À l’attention des auto-écoles : toute anomalie constatée concernant votre établissement notamment sur la géolocalisation est à signaler au bureau de l’éducation routière de votre département. » Et plus loin : « Les données auto-écoles sont affichées à titre indicatif ».

Enfin, il est précisé dans le mail reçu par les écoles de conduite que « Les mises à jour seront trimestrielles et la période d’étude sera progressivement augmentée jusqu’à 12 mois. »

Ceux qui attendaient de ce site officiel qu’il soit fiable et à jour en seront pour leurs frais.


Permis à 17 ans : le décret enfin publié !

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permis 17 ans
Les professionnels l’attendaient avec impatience, il a enfin été publié. Le décret n°2023-1214 « portant abaissement de l’âge minimal d’obtention de la catégorie B du permis de conduire à dix-sept ans » a été publié hier, 21 décembre 2023, au Journal officiel.

À 3 jours de Noël, et 10 jours avant l’entrée en vigueur de la mesure, le Ministère de l’Intérieur daigne enfin « offrir » aux écoles de conduite un peu de visibilité. Le décret publié au Journal officiel est laconique, il ne contient que trois articles. Ce décret vient modifier l’article R221-5 du Code de la route.

Pour obtenir plus d’informations, il convient de se reporter aux courriers que la Déléguée interministérielle, Florence Guillaume, a fait parvenir aux organisations professionnelles. Voici, en résumé, le contenu de ces courriers :

1. Jeunes concernés par la mesure

La mesure bénéficiera à tous les jeunes âgé de 17 ans à l’entrée en vigueur du texte, quel que soit le mode de formation choisi. Cette généralité s’expliquant du fait que l’inscription et la présentation à l’épreuve théorique générale (ETG) sont déjà possibles :

  • dès 15 ans dans le cadre de la conduite accompagnée
  • et dès 16 ans dans le cadre de l’apprentissage traditionnel.

2. Journée Défense et Citoyenneté (JDC)

Les jeunes n’ayant pas été convoqués et ne pouvant présenter le certificat de participation à la JDC présenteront l’attestation provisoire de situation vis-à-vis du service national pour demande d’inscription à l’examen ou une demande de délivrance de titre.

3. Jeunes inscrits dans le cadre de l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) avant le 1er janvier 2024

Les candidats inscrits dans le cadre de l’AAC, ayant réussi l’examen avant l’âge de 18 ans en 2023 et n’ayant pas atteint leur majorité au 31 décembre 2023, pourront demander la délivrance du permis de conduire à la date de l’entrée en vigueur du futur décret (1er janvier 2024).

Ces jeunes pourront conduire seuls grâce au certificat d’examen du permis de conduire (CEPC) qui sera valable pendant 4 mois, à compter du 1er janvier 2024. La réglementation concernant le CEPC va être modifiée.

4. Equivalence AM option quadricycle à moteur

Les élèves inscrits dans le cadre de l’AAC et ayant validés leur formation initiale devraient pouvoir bénéficier d’une équivalence au Brevet de Sécurité Routière (BSR) correspondant à la catégorie AM du permis de conduire option quadricycle à moteur.

Cette mesure avait été proposée il y a quelques semaines par Patrick Mirouse, le président de l’ECF, sous le nom de « conduite accompagnée autonome ».

5. Veille de l’ONISR

L’Observatoire national interministériel de la Sécurité routière (ONISR) assurera un suivi de l’impact de la mesure du permis à 17 ans sur la sécurité routière.

6. Examens et délais d’attente

Afin de tenir compte de l’augmentation de la demande d’examens, le ministère de l’Intérieur recrutera en 2024 :

  • 38 inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière supplémentaires ;
  • 35 examinateurs supplémentaires.

Les auto-écoles toujours dans l’attente

Ces informations viennent donner un peu de clarté mais ne répondent pas à l’ensemble des interrogations que se posent les professionnels de l’enseignement de la conduite, notamment :

  1. sur la suppression du délai pour pouvoir effectuer la formation passerelle BEA vers B ;
  2. sur la possibilité d’avoir recours au CPF pour financer des formations d’autres catégories de permis (et principalement le permis moto).

Nous vous tiendrons informés dès que ces informations seront en notre possession.


Livret numérique : les auto-écoles non labellisées seront pénalisées

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règles calcul ETP livret numérique

Le livret numérique sera obligatoire à compter du 1er janvier 2024. La semaine dernière, la DSR présentait aux organisations professionnelles les nouvelles règles applicables pour le calcul des ETP (et donc l’attribution des places d’examen). Contrairement à la volonté affichée par la loi, ces règles ne sont ni plus simples, ni justes. Notre billet d’opinion.

Des règles plus simples ?

Prévu par la mesure n°8 du rapport Dumas, le livret numérique doit garantir davantage de transparence aux élèves, une portabilité facilitée en cas de changement d’établissement et permettre de faire « baisser le prix du permis de conduire. » Pour les écoles de conduite, le livret numérique doit permettre une « simplification et garantie de règles de concurrence loyale : le livret numérique permettra d’automatiser la mise à jour du seuil formateur des AE dans RdvPermis sur la base des heures de formations déclarées. »

Ces règles sont décrites dans un document de 14 pages et résumées sur le visuel ci-dessous :

Règles applicables pour le calcul des ETP

règles calcul ETP livret numérique

Sur le papier, ces règles sont simples mais comme souvent, le diable se cache dans les détails. Un détail nous a particulièrement interpellé. Les accompagnements à l’examen ne seront comptés dans les ETP uniquement si l’école de conduite dispose du label de qualité.

Des règles qui changent en cours de route

Lors de la mise en place du label en 2018, la DSR avait communiqué sur les avantages que conférait le label de qualité : la possibilité de faire les formations passerelles B78 vers B, la possibilité de dispenser des formations post-permis, un référencement sur une plateforme officielle et sur Datadock. En 2021, les critères du label ont été revus et le celui-ci donne désormais accès à la certification Qualiopi (si l’école de conduite est organisme de formation)… et donc aux financement CPF.

Ces avantages étaient clairement annoncés et les écoles de conduite pouvaient décider, en connaissance de cause, si elles souhaitaient se labelliser ou pas. Début décembre 2023, ce sont 3930 auto-écoles qui étaient labellisées, soit environ 1/3 des écoles de conduite (davantage en réalité si l’on considère que certains gérants décident de ne labelliser qu’un seul bureau).

Pour les quelques 8000 bureaux non labellisés, les accompagnements à l’examen ne seront pas comptabilisés dans les ETP. Exemple : une auto-école non labellisée qui réalise 300 examens sur l’année perdra l’équivalent de 6 à 10 places d’examen par rapport à la même structure qui serait labellisée.

Cette règle « sortie de nulle part » n’est mentionnée ni sur le site de la sécurité routière, ni dans l’arrêté de 2018, ni même dans celui de mars 2021. Elle pose à notre sens plusieurs problèmes.

Les auto-écoles non labellisées « présumées coupables »

Les défenseurs de cette nouvelle règle diront que « les auto-écoles labellisées ont l’obligation d’envoyer en examen un enseignant diplômé » (et non pas une personne chargée de l’administratif). Certes, mais cela ne veut pas dire que les auto-écoles non labellisées font accompagner leurs élèves uniquement par des personnes non diplômées.

Cette règle revient à pénaliser, par principe et sans discernement, les auto-écoles non labellisées. Elle n’est ni juste ni loyale.

Une obligation implicite à se labelliser pour ne pas être pénalisé

En conférant toujours plus d’avantages aux écoles de conduite labellisées, la volonté de la DSR est d’inciter le maximum d’auto-écoles à se labelliser (y compris contre leur gré). Lorsqu’une auto-école a décidé de ne pas demander le label depuis 5 ans, c’est qu’elle n’en a pas l’utilité. Faire en sorte de pénaliser celles qui ne voudraient pas (ou ne pourraient pas) se labelliser est tout sauf juste.

Par ailleurs, cela doit amener à une vraie réflexion sur la « valeur » effective du label de qualité décerné par le Ministère. Ce label avait pour objectif de récompenser des auto-écoles vertueuses s’engageant sur un certains nombre de critères.

Aujourd’hui, un tiers des écoles de conduite sont labellisées. Si demain cette proportion monte à 50% ou 75%, comment est-ce que les candidats feront-ils la différence entre une bonne auto-école et une mauvaise. Les deux auront un sticker jaune sur leur vitrine avec la Marianne.

Autrement dit, si l’on se met à distribuer des médailles à tour de bras, la médaille en question ne vaudra bientôt plus rien.

Une labellisation de plus en plus compliquée

Un autre problème, réside dans le fait que la labellisation coûte de l’argent. Que l’auto-école se fasse accompagner ou qu’elle monte son dossier elle-même, les processus à mettre en place prennent du temps et l’entreprise doit assumer ces coûts.

Par ailleurs, l’obligation de souscrire à une garantie financière pose problème. Après deux années plutôt fastes, les écoles de conduite connaissent un sérieux ralentissement de leur activité depuis la fin de l’été. Toutes n’auront pas un bilan 2023 positif et ne pourront pas renouveler leur garantie financière facilement.

Ces surcoûts liés au label devront être répercutés sur les tarifs des formations. L’objectif affiché de « faire baisser le prix du permis » s’éloigne chaque jour un peu plus…

D’autres incohérences relevées

La comptabilisation des accompagnements aux examens pour les seules auto-écoles labellisées n’est pas la seule incohérence relevée :

  • un leçon d’un heure en conduite accompagnée compte pour 1,2… quand une leçon B classique compte 1. L’explication avancée est que les élèves en conduite accompagnée ont – en moyenne – besoin de moins de leçons que les élèves en formation traditionnelle. Cette explication ne tient pas, et elle va à l’encontre du système général mis en place. Si le nombre de leçon effectuée et/ou le taux de réussite entre en compte, pourquoi ne pas distinguer l’enseignant qui dispense un cours en boîte manuelle de celui qui enseigne en boîte automatique ?
  • les formations passerelles (exemple : B78 vers B) comptent, alors même qu’elles ne donnent pas lieu à un examen.
  • Les leçons sur simulateur comptent, qu’elles soient effectuées par un enseignant ou pas. D’une part, l’arrêté du 22 décembre 2009 prévoit la possibilité d’avoir recours à un simulateur. D’autre part, le label de qualité (critère 4.1) prévoit que « Si l’établissement dispose d’un simulateur, la présence systématique d’un enseignant est obligatoire, à l’exception du travail de la compétence 1 « maîtriser le maniement du véhicule de la catégorie B du permis de conduire dans un trafic faible ou nul » mentionnée à l’arrêté du 29 juillet 2013 relatif au livret d’apprentissage de la catégorie B du permis de conduire. ». En d’autres termes, le temps de travail d’une secrétaire non diplômée qui serait présente pendant qu’un élève travaille la compétence 1 peut être comptabilisé et entrer dans le calcul des ETP.

Qu’on soit pour ou contre le nouveau système, on avait un mode de calcul clair et lisible « 1 ETP = X places d’examen. » Ce système est en train d’être complexifié à l’extrême avec des cas particuliers, des exceptions, etc… jusqu’à le rendre incompréhensible.


Livret numérique : la DSR apporte des précisions

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Livret numérique auto-école (1)

Le passage au livret numérique à compter du 1er janvier 2024 est, pour beaucoup, source d’interrogation (et pour certains de stress). En début de semaine, les différents Bureaux de l’éducation routière (BER) ont diffusés, auprès des auto-écoles, les règles applicables dès le mois prochain.

Ces règles ont été présentées le 5 décembre par la DSR aux responsables des organisations professionnelles et réseaux de l’éducation routière.

Un mode de calcul revu (et complexifié)

L’un des objectifs du livret numérique est la « simplification et garantie de règles de concurrence loyale : le livret numérique permettra d’automatiser la mise à jour du seuil formateur des AE dans RdvPermis sur la base des heures de formations déclarées. »

Dans un document explicatif fournis aux écoles de conduite, la DSR précise les modalités de calcul retenues, par catégorie, par filière et selon que l’auto-école dispose (ou non d’un simulateur de conduite). Ce document est téléchargeable ici.

Pour ce qui est de la « simplification » et la « garantie de règles de concurrence loyale », chacun est libre de se faire une opinion.

Calendrier et modalités de mise en place

Voici les règles communiquées par les BER, en fonction des différentes filières et des différentes catégories de permis.

Nous vous les livrons telles quelles :

  1. Tout élève inscrit (Attestation d’inscription au permis de conduire AIPC faisant foi) avant le 1er janvier 2024 n’a pas obligation de passer sur un livret dématérialisé s’agissant des catégories B, B1 et groupe moto.
  2. Tout élève inscrit (AIPC faisant foi) avant le 1er mars 2024 n’a pas obligation de passer sur un livret dématérialisé s’agissant de la catégorie BE et de celles relevant du groupe lourd (PL).
  3. Les règles de présentation en examen de l’attestation de fin de formation initiale pour les candidats AAC vont être précisées et simplifiées.
  4. Une école de conduite (AE) peut transmettre les données obligatoires du LN, soit via un logiciel de gestion, soit via un portail pédagogique.
  5. Le calcul automatisé des ETP B et moto débutera en juin 2024, il est donc nécessaire que chaque AE soit équipée d’une solution de transmission des données obligatoires au plus tard au 1er avril 2024.
  6. Le calcul automatisé des ETP PL débutera en septembre 2024, il est donc nécessaire que chaque AE soit équipée d’une solution de transmission des données obligatoires au plus tard au 1er juin 2024.
  7. Le calcul automatisé des ETP pour tous les groupes sera réalisé sur la base des 2 premiers mois d’historique au moment de l’amorçage du système.
  8. La période de référence pour les ETP B augmentera au fil de l’eau jusqu’à 4 mois, avec glissement ensuite chaque mois (avec évaluation lors des prochains comités de suivi).
  9. La période de référence pour les ETP moto augmentera au fil de l’eau jusqu’à 6 mois, avec glissement ensuite chaque mois (avec évaluation lors des prochains comités de suivi).
  10. La période de référence pour les ETP PL sera précisée lors du prochain comité de suivi de la mise en place du LN.
  11. Seules les heures réalisées sur des simulateurs validés (c’est à dire conforme au  cahier des charges) seront éligibles à compter dans le LN.
  12. Les développements et évolutions se feront de manière itérative dans la même logique de co-construction que celle mise en place pour RdvPermis.

Agora, la nouvelle application dédiée aux gérants d’auto-école

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Agora Application gérants auto-école

Cette nouvelle application mobile, 100% gratuite, est éditée par le site VroomVroom.fr. Conçue pour les gérants d’écoles de conduite, elle leur permet de rester informés sur l’actualité du secteur et d’échanger entre eux, grâce à une messagerie. De nouvelles fonctionnalités viendront enrichir l’application dans les mois à venir.

Des informations métier postées tous les jours

Il est parfois compliqué de suivre les évolutions d’un secteur qui n’a cessé d’être réformé depuis 2015. L’application Agora propose aux gérants de suivre l’actualité des auto-écoles et du permis de conduire grâce à une revue de presse quotidienne.

Elle comprend :

  • des articles de la presse spécialisée ou généraliste ;
  • des communiqués de presse des organisations professionnelles représentatives ;
  • des interviews des acteurs qui comptent ;
  • des nouveaux produits proposés par les différents fournisseurs ; et,
  • un veille juridique sur les évolutions du code de la route.

Elle permet de rester informé et de répondre au critère n°6 du label de qualité (veille pédagogique, technologique et réglementaire).

La nouvelle messagerie pour les auto-écoles

Beaucoup de gérants d’auto-école regrettent la messagerie Printel® qui leur permettait d’échanger avec leurs collègues et avec l’administration. Dans certains départements, des groupes WhatsApp se sont constitués de manière plus ou moins anarchique. La qualité des débats et des intervenants n’est pas toujours au rendez-vous et la frontière entre vie professionnelle et vie privée n’est pas respectée.

L’application Agora dispose d’une messagerie inter-auto-écoles qui permet aux gérants d’écoles de conduite de communiquer entre eux, mais aussi avec tous les acteurs du permis de conduire (organisations professionnelles, fournisseurs, opérateurs du code, etc).

Comme la messagerie Printel®, elle comprend des groupes rassemblant les auto-écoles d’un département… mais pas seulement ! Chacun a la possibilité de créer un groupe sur une thématique particulière (offre d’emplois, vente de fonds de commerce, entraide pour la labellisation, fonctionnement d’EDOF, formation professionnelle, etc…) et d’inviter ses collègues à le rejoindre.

Les organisations professionnelles peuvent utiliser la messagerie pour communiquer à destination de leurs adhérents (groupes privés) ou à destination de l’ensemble du secteur (groupes publiques).

Téléchargez Agora !

L’application est disponible sur iOS (iPhones) et sur Android. Elle est téléchargeable sur les différents store :

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Pour se connecter l’auto-école doit disposer d’un compte utilisateur (gratuit) sur VroomVroom. Plus de 9000 auto-écoles disposent déjà d’un compte, si ce n’est pas le cas, vous pouvez créer votre compte ici. En cas de difficulté à vous connecter ou de mot de passe oublié, n’hésitez pas à écrire un mail à l’adresse contact@vroomvroom.fr.

Agora

Stupéfiants au volant : assurez-vous en toute situation !

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consommation drogue alcool volant assurance

La consommation d’alcool ou de substances illicites au volant expose à des conséquences sérieuses, de la suspension du permis à la résiliation du contrat d’assurance auto. Pour ceux confrontés à cette situation délicate, que ce soit suite à un accident sous l’emprise de stupéfiants ou en cas de flagrant délit, certaines assurances se révèlent particulièrement utiles !

Les dangers de la conduite sous l’emprise des stupéfiants

La consommation de stupéfiants est strictement interdite par la loi, à cause des effets nocifs que ces substances pourraient avoir sur la santé des consommateurs. Au volant, la prise de stupéfiants chez un automobiliste a pour effet de ralentir son temps de réaction, sa concentration, et ses réflexes. C’est la raison pour laquelle l’abus d’alcool et l’usage de stupéfiants par les conducteurs sont sévèrement sanctionnés par la loi, car augmentent considérablement le risque d’accident mortel.

Que dit la loi en cas d’usage d’alcool et de stupéfiants au volant ?

Un automobiliste signalé positif aux drogues, ou avec un taux d’alcoolémie supérieur à la limite autorisée, perd immédiatement 6 points sur son permis de conduire, et paie une amende de 4500 euros. Il risque également jusqu’à deux ans de prison et son véhicule peut être placé en fourrière.

En cas d’accident et en fonction de sa gravité, plusieurs sanctions supplémentaires peuvent s’appliquer au conducteur à l’instar de la suspension temporaire ou du retrait du permis de conduire. Une situation qui parfois a pour conséquence la résiliation du contrat de l’assurance auto par l’assureur.

Les compagnies d’assurance à l’instar de Eastassur proposent des Assurances Auto Stupéfiants adaptées pour les conducteurs à la recherche d’un assureur à la suite d’une suspension, ou d’un retrait de permis de conduire.

Les sanctions mises en place par l’assureur

Les compagnies d’assurance sont particulièrement strictes en ce qui concerne la prise de stupéfiants au volant, et les sanctions peuvent aller jusqu’à la résiliation du contrat d’assurance auto. La prise de drogues et de stupéfiants font partie des exclusions de garantie pouvant être mises en place par votre assurance auto, surtout en cas d’accident de la circulation.

Pour un conducteur ayant consommé des drogues et qui provoque un accident grave, l’assureur peut lui imposer deux types de malus : le premier pour être à l’origine du sinistre, et le second pour avoir été testé positif aux drogues.

Dans le cas où le test positif à la consommation de stupéfiants fait partie des exclusions de garantie, il est possible que l’assureur décide de ne pas indemniser l’assuré que ce soit partiellement ou totalement. La décision finale de l’assureur sera motivée par la gravité du sinistre, les circonstances de l’accident et le montant des indemnités.

En cas de prise volontaire de substances illicites par l’assuré et si ce dernier est l’auteur principal du sinistre, ou une simple victime, la compagnie d’assurance se réserve le droit d’appliquer certaines sanctions :

  • Réduire ou supprimer l’indemnisation à verser à l’assuré
  • Déchéance de la garantie d’assurance
  • Résiliation du contrat d’assurance

Drogues au volants : les conséquences sur l’assurance auto

Votre contrat d’assurance auto peut être résilié par la compagnie d’assurance si vous êtes responsables d’un accident après avoir consommé des substances illicites. Cependant, la résiliation n’est pas automatique et l’assureur peut tout simplement annuler toutes les indemnisations auxquelles a droit l’assuré.

Cependant, la suspension ou le retrait de permis de conduire à la suite d’un accident entraîne la résiliation du contrat par l’assureur. Quant à l’assuré, il sera inscrit au registre de l’AGIRA (Association pour la Gestion des Informations sur le Risque en Assurance). Si le motif de résiliation est lié à la consommation de stupéfiants, l’ex assuré aura toutes les peines du monde de trouver un nouvel assureur. Il devra se tourner vers une compagnie d’assurance qui propose des assurances auto stupéfiants.


Congrès ECF 2023 : Nouvelles mobilités et conduite accompagnée

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Patrick Mirouse, président du groupe ECF

Le week-end dernier se tenait à La Rochelle, le Congrès annuel des ECF (École de Conduite Française). Un congrès qui a rassemblé environ 250 adhérents et partenaires, autour du mot d’ordre : « Déplaçons-nous autrement ». PermisMag était présent sur place.

Le Groupe ECF s’engage pour les nouvelles mobilités

Les experts dressent le même constat

Pour parler « nouvelle mobilités », le Groupe ECF a invité un panel d’experts : Olivier Schneider (Président de la FUB), Jean Ambert (membre de la Fédération Professionnelle de la Micro-Mobilité), Frédéric Mourier (fondateur d’Avatar Mobilité), Laurent Perron (Les shifters) et Jean-Pierre Martin (Mov’easy By ECF…).

Ces derniers ont pu partager leur expérience et leur savoir dans plusieurs ateliers et tables rondes. Tous partagent le même constat implacable : pour des raisons économiques, écologiques ou technologiques, les nouvelles mobilités (ou mobilités actives) font désormais partie intégrante de nos déplacements.

Comme la mise en pratique vaut toutes les explications théoriques, les adhérents ont ensuite été invités à expérimenter les outils mis à disposition : trottinettes et vélos électriques, gyropodes.

Patrick Mirouse, président du Groupe ECF, Olivier Schneider, président de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), Jean Ambert, membre de la FP2M et Gérard Hernja, chargé de recherche pédagogique et responsable ECF Le LEEM

Patrick Mirouse

Une nouvelle offre de formation disponible dès 2024

Patrick Mirouse, Président du Groupe ECF, a présenté aux adhérents la nouvelle offre de formation qui sera disponible en début d’année 2024. Les écoles ECF qui souhaitent se positionner sur le sujet disposeront d’une méthode pédagogique originale et d’outils dédiés (trottinettes et vélos électriques, gyropodes).

Interrogé à l’issue du Congrès, Patrick Mirouse dresse un bilan très positif des trois jours : « Nos adhérents ont fait preuve d’un réel intérêt pour la problématique des nouvelles mobilités. Nous souhaitions d’une part leur faire prendre conscience que l’intégration des nouvelles mobilités dans les déplacements quotidiens était plus que positive, pour des raisons écologiques et économiques bien sûr. Mais aussi, d’autre part, qu’il est indispensable que le Groupe ECF, en tant qu’organisme formateur de référence, apporte une réponse pédagogique de qualité aux problématiques de sécurité routière apparues avec ces nouveaux usages ».

Le réseau ECF et sa Responsable Communication Olivia Bonelli en atelier conduite EDPM

La DSR accueille favorablement la proposition ECF de « conduite accompagnée autonome »

Lors de son intervention, la déléguée Interministérielle à la Sécurité Routière, Florence Guillaume, s’est déclarée favorable à ce que l’A.F.F.I. (Attestation de Fin de Formation Initiale) donne désormais de fait une équivalence au permis AM quadricycle.

Cette proposition vise à ce que les plus de 15 ans inscrits en conduite accompagnée (AAC) et titulaires de l’AFFI puissent prendre le volant d’un quadricycle léger sans avoir besoin de passer leur permis AM.

Florence Guillaume, déléguée interministérielle à la Sécurité Routière et Patrick Mirouse, président du Groupe ECF

Florence Guillaume, déléguée interministérielle à la Sécurité routière et Patrick Mirouse, Président du Groupe ECF

Cette demande du Groupe ECF, exprimée dans le cadre du Permis à 17 ans vise à renforcer l’autonomie et la sécurité des plus jeunes au volant. En effet, le jeune inscrit en conduite accompagnée pourrait multiplier ses heures de conduite en toute autonomie, engranger de l’expérience au volant, assurer la réussite de son permis de conduire grâce à l’expérience acquise mais surtout bénéficier d’une conduite plus sûre tout au long de sa vie. La formalisation de cette équivalence est en cours d’étude par la Direction de la Sécurité Routière.

Crédit photo : @Florent Fauqueux


Moniteurs indépendants : Leboncoin et Superprof dans l’illégalité

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Superprof moniteur indépendant illégal
Depuis des années, les auto-écoles traditionnelles dénoncent la concurrence illégale exercée par les auto-écoles plateformes ayant recours à des moniteurs indépendants. D’autres plateformes — qui ne sont pas auto-écoles — exercent une autre forme de concurrence déloyale, dans l’indifférence la plus totale.

Agrément auto-école et charges sociales

Les deux principaux reproches adressés aux plateformes auto-écoles (Ornikar, En Voiture Simone, Lepermislibre…) sont d’une part le fait qu’elles ne disposent pas d’agrément dans tous les départements où elles exercent et, d’autre part, le recours à des moniteurs indépendants, non soumis aux cotisations sociales. Ces deux éléments permettant à ces structures d’abaisser leurs coûts et de pratiquer des tarifs plus bas.

À force de lobbying, ces acteurs ont fini par obtenir que la portée nationale de l’agrément soit reconnue et que les moniteurs indépendants soient comptabilisés, comme les salariés, pour le calcul des seuils dans RdvPermis. Quelques moniteurs indépendants ont entamé des actions en justice pour demander à ce que leur contrat de prestation soit requalifié en contrat de travail… mais sans grand succès pour l’instant.

Un statu quo semble s’être installé entre ces plateformes, qui représentent désormais tout de même plus de 10% du marché dans les grandes agglomérations, et les organisations représentatives de la profession qui ne souhaitent plus s’engager dans des procédures judiciaires longues, coûteuses et à l’issue incertaine.

Les sites Leboncoin et Superprof proposent des cours de conduite

Depuis quelques mois, les auto-écoles — traditionnelles et plateformes — doivent faire face à de nouveaux acteurs : des plateformes de petites annonces généralistes sur lesquelles des moniteurs indépendants déposent des annonces. Leur objectif ? Contourner les frais de service prélevés par Ornikar et consorts à chaque leçon. Ces moniteurs proposent leurs services, en direct aux élèves… sans intermédiaire, sans agrément et dans l’illégalité la plus totale.

Deux sites se « distinguent » particulièrement. Le plus connu est Leboncoin, le site de petites annonces n°1 en France ; le second est Superprof, un site de petites annonces dédié à l’origine au soutien scolaire. Les deux sites référencent environ 300 annonces pour des cours de conduite, rien qu’en Île-de-France… et beaucoup plus à l’échelle nationale.

Leboncoin recense 260 offres de moniteurs indépendants proposant des leçons de conduite

Moniteur auto-école indépendant Leboncoin

Des annonces illégales et… qui mettent en danger les élèves

Ces annonces sont bien évidemment illégales au regard de l’article L213-1 du Code de la route qui prévoit : « L’enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur d’une catégorie donnée et de la sécurité routière […] ne peuvent être organisés que dans le cadre d’un établissement dont l’exploitation est subordonnée à un agrément délivré par l’autorité administrative. » Leboncoin et Superprof ne disposent pas d’agrément auto-école, le fait de mettre en relation des élèves et des enseignants pour des cours de conduite est bien interdit.

Ces annonces posent de nombreux problèmes et mettent en danger les élèves qui — par ignorance ou par volonté de faire des économies — seraient tentés de faire appel aux services de ces moniteurs. Le fait d’effectuer une formation en école de conduite agréée permet d’avoir un certain nombre de garanties sur les qualifications de l’enseignant de la conduite (diplôme, autorisation d’enseigner à jour) et sur le véhicule (assurance, contrôle technique à jour, équipement en double commandes, etc.).

Ces enseignants indépendants qui exercent en dehors de tout contrôle et de toute structure n’en offrent aucune. En cas d’accident l’élève risque de ne pas être couvert et, en cas de contrôle de police, il risque d’être verbalisé pour conduite sans permis (ce qui est un délit).

Ni contrôle ni sanction

Le phénomène est loin d’être anecdotique ! Même si les enseignants ayant posté les 300 annonces ne travaillent pas à temps plein, même s’ils ne représentent « que » 100 ETP par mois… c’est l’équivalent de 20 auto-écoles employant chacune 5 enseignants pour la seule région Île-de-France.

Comme la fraude à l’examen du code de la route, cette situation n’est possible qu’à cause d’une négligence généralisée et d’un manque de volonté politique. Une négligence de la part des sites internet tels que Leboncoin et Superprof qui ne pratiquent aucune modération de ces annonces illégales.

Un manque de volonté politique de l’État qui n’exerce pas les contrôles nécessaires sur ces plateformes. La DGCCRF et les DDPP devraient ordonner à ces sites de faire retirer les annonces en question sous peine de sanctions. Pour Bruno Garancher, le président de l’Unidec, « nous avons l’impression d’une démission de l’État, qui n’exerce plus son pouvoir de police. Peut-être qu’il n’en a pas les moyens… ou peut-être qu’il s’agit d’une volonté délibérer de laisser se développer un deuxième marché de l’enseignement de la conduite « au rabais ». C’est sûr qu’il est plus facile d’aller contrôler une profession constituée… ».

Réaction des organisations professionnelles

Suite à notre article, Mobilians a demandé à ses responsables départementaux de faire remonter à la DGCCRF et à la DDPP les cas de moniteurs indépendants exerçant sur ces plateformes.


Formations de conduite : Impact sur votre prime auto

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Formation conduite impact prime assurance auto

Le jeune conducteur se trouve souvent dans une situation délicate : d’un côté, l’excitation de la liberté retrouvée avec le permis de conduire en poche, de l’autre, la réalité des coûts d’assurance auto souvent prohibitifs. Heureusement, il existe une solution pour réduire ces coûts : le stage de conduite. Préparez-vous à découvrir comment ce stage améliore non seulement vos compétences de conduite mais allège également votre budget.

La prime d’assurance auto pour les jeunes conducteurs

Les assureurs considèrent généralement les jeunes conducteurs comme une catégorie à risque en raison de leur manque d’expérience. Les chiffres parlent sont sans équivoque : les jeunes conducteurs âgés de 18 à 25 ans représentent environ 24% des victimes de la route.

Ce phénomène se traduit par des primes d’assurance auto souvent élevées. Mais ne vous inquiétez pas, il existe des moyens de réduire ces coûts :

  • Passer la conduite accompagnée : réduction de la surprime grâce à l’expérience acquise.
  • Choisir une voiture d’occasion : moins coûteux à assurer, surtout si elle a plus de 5 ans et plus de 100 000 km.
  • Préférer une voiture essence : moins cher à assurer qu’un moteur diesel.
  • Opter pour une petite motorisation : réduit la prime d’assurance.
  • Souscrire une assurance minimum : surtout si le véhicule a une faible valeur.
  • S’assurer auprès de la compagnie de ses parents : possibilité de remises.
  • Être conducteur secondaire sur le contrat d’un proche : moins cher et permet d’acquérir du bonus.
  • Prendre en charge les petits sinistres : évite d’augmenter la prime d’assurance.
  • Augmenter sa franchise : réduit le coût de la prime d’assurance.
  • Installer un antivol : possibilité de réduction sur la prime.

Astuce : Utilisez un comparateur d’assurance auto

Vous pouvez trouver un meilleur tarif d’assurance auto à l’aide d’un comparatif d’assurances auto. Cela vous permettra de recevoir plusieurs devis, gratuitement, sans engagement et de choisir l’offre la plus avantageuse.

Le stage de conduite

Le stage de conduite vise à changer les comportements au volant pour réduire le nombre d’accidents, dans lesquels les jeunes sont souvent impliqués. 

Le déroulement du stage

Le stage se déroule généralement en une journée et comprend 7 heures de formation, divisées en 3 heures de théorie et 4 heures de pratique. Le but est triple :

  • Accroître ses connaissances du code de la route
  • Améliorer son comportement au volant
  • Savoir réagir en situations d’urgence

Les modules théoriques

La partie théorique du programme de formation couvre une gamme de sujets : comportements à risque comme la conduite sous l’influence de l’alcool, de drogues ou en état de fatigue, dangers liés à la vitesse excessive et risques associés au non-respect des règles de circulation.

La pratique sur circuit

La partie pratique se déroule sur un circuit spécialement conçu pour simuler diverses conditions routières. Vous apprendrez à réagir à un freinage brusque, à une chaussée glissante ou à des virages serrés.

Des instructeurs qualifiés supervisent ces sessions. Ils fournissent des conseils en temps réel et des retours constructifs pour améliorer vos compétences de conduite.

Les avantages financiers du stage de conduite

Participer à un stage de conduite réduit significativement le montant de votre prime d’assurance auto. Cette réduction s’applique pendant toute la durée du contrat ou sur une période déterminée.

Combien coûte le stage ? Celui-ci est généralement proposé à partir de 200 €, une somme vite amortie grâce à la réduction de la prime d’assurance.

Comment s’inscrire à un stage de conduite ?

Vous pouvez vous inscrire à un stage de conduite auprès d’auto-écoles ou de structures spécialisées. À la fin du stage, une attestation est délivrée, à présenter à votre assureur pour bénéficier de la réduction sur votre prime.

Le mot de la fin : Un double bénéfice

Le stage de conduite offre un double avantage : il permet d’améliorer vos compétences de conduite tout en réduisant le coût de votre assurance auto. Alors, prêt à prendre le volant en toute sérénité et avec un portefeuille plus léger ? Votre avenir sur la route commence maintenant !