La semaine dernière, Stych célébrait ses 10 ans d’existence et réunissait l’ensemble de ses salariés en convention. L’occasion pour ses dirigeants – Stanislas Llurens et Benoît Storelli – de revenir sur les débuts de l’entreprise mais surtout de définir des objectifs ambitieux à l’horizon 2030.
Outils numériques et présence locale
Dès sa création, Stych (anciennement Auto-école.net) a choisi de placer le digital au cœur de son modèle. Les élèves bénéficient de ressources pédagogiques en ligne, sous la forme de courtes vidéos explicatives, et peuvent se préparer en amont de leurs leçons de conduite. Cette méthode innovante permet de réduire le nombre d’heures de conduite nécessaires à l’obtention du permis.
Une autre particularité de Stych est d’avoir opté pour un modèle hybride. Contrairement aux auto-écoles en ligne comme Ornikar et En Voiture Simone qui n’ont pas d’agences et pas de moniteurs salariés, Stych a fait le choix de l’implantation locale et emploie ses enseignants.
Stych possède à ce jour un peu plus de 70 agences – réparties partout en France – et est présente dans 560 villes à travers des points de rendez-vous. L’entreprise emploie près de 520 salariés (dont environ 400 enseignants de la conduite), ce qui fait d’elle le premier employeur du secteur. Cette implantation locale s’est faite par l’acquisition progressive d’auto-écoles traditionnelles, comme nous l’expliquait Benoît Storelli en 2022.
Des objectifs ambitieux pour 2030
En 2024, Stych devrait réaliser un chiffre d’affaires d’un peu moins de 50m€. Si elle parvient à maintenir la croissance qu’elle a connue au cours de la décennie écoulée, Stych devrait être la « première auto-école de France » en 2030.
Cet objectif ambitieux passera par l’implantation dans de nouvelles villes et le recrutement de nouveaux enseignants. Pour l’année 2024 seule, Stych devrait recruter plus de 200 enseignants. Le métier étant en tension, l’entreprise prévoit d’ouvrir ses propres centres de formation, les Stych Académies, dans plusieurs villes de France. Au sein de ces centres, les stagiaires préparant le TP ECSR devraient bénéficier des mêmes outils digitaux que ceux utilisés pour la formation des élèves au permis de conduire.
Une démarche solidaire
Ce projet ambitieux s’accompagne d’une volonté forte de construire une entreprise responsable et durable. Comme le souligne Benoît Storelli, « nous voulons continuer à faire évoluer l’apprentissage de la conduite tout en contribuant à un monde plus équitable et plus durable. Notre stratégie RSE et nos engagements solidaires sont au cœur de notre démarche ».
En effet, l’entreprise à développé des projets solidaires comme l’initiative La Bonne Étoile, en partenariat avec la Croix-Rouge française, qui vise à rendre la formation à la conduite accessible aux personnes en situation de précarité.
Moment de cohésion irréaliste. Super. Merci pour cet intermède qui nous a permis de nous retrouver et de faire de super rencontres.
Merci à l’organisation.